Czeslaw Andrzej Klimuszko est né le 23 Août 1905 et il est mort en 1975 en Pologne. - (Résumé de sa vie)
Prophéties
Le père Czeslaw prédit à la journaliste Wanda Konarzewska :
« La Pologne sera la source d'une nouvelle loi dans le monde, et le pays sera si grandement honoré que toute l'Europe sera en guerre, mais elle ne passera pas par le territoire polonais. (…) Je vois la carte de l'Europe, je vois l'aigle polonais avec une couronne. La Pologne brille comme le soleil et l’automne brillera autour. Les autres viendront pour nous, et nous seront fiers d’être polonais et de vivre ici. »
Dans les années soixante-dix au monastère d’Elblag, l'écrivain Tadeusz Konwicki était venu voir le Père Czeslaw Klimuszko, il raconte :
"Quelques fois, j'ai essayé de convaincre le prêtre Klimuszkę de me dire l'avenir de la Pologne, à nous tous, travailleurs paysans de la Vistule. Le prêtre a répondu sacrilège, et se cachant derrière l’éthique de sa profession, a catégoriquement refusé, bien que nous sentions qu’il savait. (…) Il se défendait, se tordait, esquivait et puis il dit enfin à voix basse ces mots :
"Les paysans seront rabaissés avant les autres polonais, pendant cinquante années !" Là, il leva son bras droit vers le haut de manière significative.
"Il arrivera un temps où la Pologne verra la chute de ses ennemis. Avant, je vois la lumière rejoignant les polonais. Ce sera très bon, mais en catimini."
"Quand il s'agit de notre nation, je peux dire que si je devais vivre encore cinquante ans, et pouvoir choisir dans quel pays dans le monde je veux vivre, je choisirais sans hésiter la Pologne, malgré sa situation géographique malheureuse. C’est sûr en Pologne car je vois pas de gros nuages, mais l’éclat radieux de l'avenir ".
Le Père Czeslaw encourageait les polonais à être optimistes et à ne pas penser à la fin du monde.
L’auteur Tadeusz Konwicki raconte que le père Czeslaw lui avait prédit la chute du communisme 50 ans après la fin de la seconde guerre mondiale. Il lui prédit aussi une menace morale et écologique sur l’humanité, ainsi qu’une guerre :
"J'ai vu des soldats sur la mer, ils étaient petits, mais dans la tour de navire, on pouvait voir à leurs visages qu’ils n'étaient pas Européens.
J’ai vu des maisons en ruine et des enfants italiens qui pleuraient. Cela ressemblait à une attaque des infidèles en Europe.
Il me semble que l’Italie doit en répondre à certaines tragédies.
Une partie de la chaussure italienne sera sous l'eau. C’est un volcan ou un tremblement de terre ? J’ai vu des scènes comme le grand cataclysme. C'était horrible. "
"Notre nation ne s’en sortira pas mal. Peut-être cinq, voire dix pour cent de la population sera condamnée. Sachez que pour beaucoup, il y aura des millions de mort, mais la France et l'Allemagne en perdra plus encore. L’Italie souffrira le plus. Ceci unifiera vraiment l'Europe. La pauvreté viendra (...) "
Marian Cieciuch dans le livre "Les Prophéties du Pape Polonais" se réfère à une discussion du prêtre avec Zbigniew Żakiewicz.
En 1980, peu avant sa mort, il déclara :
"Les années à venir sont dangereuses et critiques pour la survie de la Pologne, seulement menacée de famine (…) Le pays connaitra des années de gloire. C’est un endroit heureux. Si je devais naître une deuxième fois, je viendrais au monde seulement en Pologne, mais les Polonais veulent aller partout dans le monde … ils reviendront ici. »
Dans la revue catholique "Étoile de mer" Czeslaw explique les raisons pour lesquelles il estime que c’est endroit heureux par les millions de martyrs qui intercèdent pour les polonais auprès de Dieu.
Le frère Mieczyslaw Józefczyk, doyen d’Elblag et curé de la paroisse de Saint- Nicholas écrit :
«À la fin de sa vie, il a parlé de sa vision pour l'avenir. L'Europe doit être touchée par un cataclysme dont il n’a pas pu déterminer le type, cependant, la Pologne survivra à ce cataclysme, et échappera à ce malheur. Et ce sera le pays le plus sûr en Europe. »
Dans les années 70, l'écrivain Wojciech Zukrowski vint voir le père Czeslaw. Il se souvint de sa surprenante rencontre en écrivant :
«J'ai vu le prêtre Andrzej les yeux illuminés, il me prit, presque comme un ami, il me saisit à deux mains par la main et a commencé à me murmurer : « Maintenant j'ai eu un point de vue différent, si terrible, que je suis même réticent à en parler, parce que je vais peut être déformer ce que j’ai compris. »
L’écrivain lui demanda de lui révéler de quoi il s’agissait :
« J’étais dans le couloir à réfléchir et tout à coup, j'ai vu une ouverture au bout d'un mur de briques, elle commençait à vibrer, comme pour se dissiper. Je me rapproche et je l’atteins en vision de loin et de très haut, comme un cosmonaute ... J'embrasse presque toute la planète, vous savez, l'ensemble.
Elle est en face de moi et s’étale, plate. Je ne sais pas si c’est possible, mais c’est arrivé plusieurs fois.
Je vois la guerre éclater dans le Sud, quand tous les traités ont été signés pour une paix durable. La Russie trahit ses voisins. Non, nous ne signons pas nous ! » dit-il, comme s'il avait deviné mes pensées.
« Des bombes de feu frappent les traîtres. Brûlant toute la ville. Puis tout s’accélérera sur la mer. Les fusées se croiseront avec d'autres, puis tomberont dans l'eau de la mer, et réveilleront les bêtes. Comme des leviers tirants tout par le bas, ils nourriront d'énormes vagues qui se propulseront. Les paquebots s’érigeront, découpés comme des peaux ... Cette montagne d’eau sera à la mesure de l'Europe. Une nouvelle inondation ! L’eau étouffera Gilbratar et menacera l’Espagne. Elle se déversera dans le Sahara, et coulera dans la botte italienne, à la rivière Po, puis disparaîtra sous l'eau en emportant tous les musées de Rome, avec toute sa magnifique architecture.
La mer couvrira les archives et tous les documents portant le sceau du secret désormais seront perdu à jamais ... »
C'était étrange de voir son regard, je me tenais immobile comme changé en pierre, je n’étais pas désolé pour les gens, j'étais désolé seulement pour les trésors, ce patrimoine de l'humanité. Voir périr ces collections de peintures de grands maîtres, ces sculptures de génies accumulées au fil des générations. Ce sont des années de manuscrits, fournis depuis les temps où nous avons essayés de sonder les mystères de la création et cherchés à tâtons le Créateur.
L’écrivain demande encore :
« Et le pape ? »
« Je l'ai pas vu. Peut-être qu'il était mort ... Peut-être qu'il était sur un de ses pèlerinages quelque part de l'autre côté du globe ?
J'ai vu le mur d'eau atteignant près de Paris, il était plus élevé que la Tour Eiffel ... coulant à l’intérieur et kidnappant des gens qui s'accrochaient à la rambarde là où sont les visiteurs, au sommet. L'eau glissait avec un terrible pouvoir, ils verront la puissance de cet élément qui balaiera tout.
J'ai vu des navires avec un fond rayé en vert ... Un tas de toits enlevés, des autobus renversés et un lisier de corps humains, un cataclysme à couper le souffle. Et je l'ai vu comme depuis un balcon, l'ensemble de cette zone jusqu’à la ligne d'horizon.
L'eau passera par l'Allemagne jusqu’ici. Les Polonais seront atteints. »
Il me regarda, les yeux du prophète étaient fous du malheur du royaume terrestre.
« Ici, là où nous sommes aujourd'hui, sera la mer. L’eau couvrira mon cimetière. Je pense que vous savez qu'il y a le réchauffement ? Plusieurs îles disparaîtront.
« Je comprends, mais quand ça arrivera ? »
Il se secoua comme dans un mauvais rêve.
« Dieu est hors du temps. Il n'utilise pas de notre calendrier. Et les gens prient, demandant miséricorde tous les jours, pour que Sa main s'abstienne de les punir. »
Le prêtre se pencha vers moi, et me pris robustement par les épaules.
« Ce n'est pas si loin encore. Je ne le verrais pas. Je vais mourir d’abord. Je suis fou de ceux qui nous dirigent aujourd'hui, les bouleversements à la Maison Blanche, y compris nos dirigeants. Mais si vous pouviez le voir de mes propres yeux, l'avenir tel qu’il m’a été révélé. Alors vous penseriez : Cet herboriste avait juste une vision troublée d’une inondation. »