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Prophétie de Saint Jean Bosco



Giovanni Melchior Bosco (ou Dom Bosco ou Jean Bosco) est né le 16 août 1815 en Sardaigne et il est mort le 31 janvier 1888 à Turin en Italie - (Résumé de sa vie)

Prophéties

Jean Bosco multipliait les lettres et les publications où il donnait des avertissements, sous formes de « récits oniriques », selon ses mots qui n’étaient pas vraiment des véritables rêves, mais plutôt comme il aimait le dire des « paraboles habillées en songe »

En 1862, il vit successivement en juin le cheval rouge de l’apocalypse et en août un gros serpent.

Le 5 janvier 1870, il vit Paris, cité brillante, pécheresse et idolâtre qui lui apparait condamnée à de terribles fléaux.

En 1870, il raconte une vision : «La guerre viendra du sud, la paix du nord. Les lois de la France ne reconnaîtront plus le Créateur. Le Créateur se révélera lui-même en la visitant trois fois du fléau de sa colère.

La première fois, il détruira sa fierté par la défaite, le pillage et la destruction des cultures, du bétail, et les hommes.

Lors de sa deuxième visite de la grande prostituée de Babylone, les fidèles endeuillés appelleront. La maison de prostitution européenne qui a perdu son chef est en proie au chaos. «Paris ! Paris ! Paris ! » Au lieu de vous édifier au nom du Seigneur, vous vous entourez de maisons de mauvaise réputation. Faute d'avoir détruit vous-même, votre idole, le Panthéon, sera réduit en cendres, de sorte qu'on pourra dire que : "L’iniquité s'est menti à elle-même." "A cause du mépris de ma vérité, vos ennemis vous plongeront dans l'angoisse et la famine, dit le Seigneur.

Lors ma troisième visite, vous entrerez sous le joug étranger. De loin vos ennemis verront votre palais en flammes, votre maison en ruines, trempés dans le sang de vos héros qui ne sont plus." Mais voici, qu'un grand guerrier du nord apparaît, une bannière dans sa main droite, le bras portant cette inscription : « Irrésistible est la main de l'Éternel.. » À ce moment-là, le Vénérable vieil homme de Rome se rendra au devant de lui pour le rencontrer, brandissant une torche en flammes. La bannière grandit et sa grande noirceur devient blanche comme la neige ; au centre, le nom du Tout-Puissant en lettres d'or.



Maintenant, la voix du Ciel s’adresse au Pasteur des pasteurs. «Tu es, toi et tes assesseurs en grande réunion, mais l’ennemi du bien n’est pas en repos. Il étudie et use de tous les artifices contre toi ; il suscitera des ennemis parmi tes fils. Les puissances du siècle vomiront le feu et étoufferont les paroles des gardiens de ma loi. Cela ne sera pas». Ils feront du mal, mais seulement à eux-mêmes. Dépêchez-vous ! Si les nœuds ne peuvent pas être déliés, coupez-les. Ne vous arrêtez pas devant les difficultés et continuez jusqu'à ce que l'hydre de l'erreur ait été décapitée. L'enfer fait trembler la terre, mais le monde sera sauvé et les fidèles exulteront. Rassemblez-vous de nouveau par deux. Où que vous alliez, accomplissez la tâche qui vous est confiée et conduisez la à son terme. Les jours passent rapidement et vos années ont atteint leur terme, mais la Reine des Cieux vous aidera toujours, et, comme par le passé, Elle sera toujours «magnum et singulare dans Ecclesia présidium».

Ah, mais vous, l'Italie, terre de bénédictions ! Qui vous a imprégné dans la désolation ! Ne blâmez pas vos ennemis, mais plutôt vos amis. N'entends-tu pas demander à vos enfants pour le pain de la foi et de trouver que ceux qui le mettra en pièces ?

Que ferai-je ?

Je frapperai les bergers, Je disperserais le troupeau, jusqu'à ce que ceux qui sont assis sur le trône de la recherche de bons pâturages pour Moïse et le troupeau écoutent attentivement et soient alimentés. Sur le troupeau et sur les bergers, Ma main va peser lourd. La famine, la peste et la guerre sera telle que la mère aura à pleurer à cause du sang de leurs fils et de leurs martyrs morts dans un pays hostile. Que reste-t-il, ingrats, efféminés, de la fierté de Rome ? Vous avez atteint un point que vous ne recherchez pas plus loin. Vous n'admirez dans votre souverain que le luxe, en oubliant que vous et votre gloire sont maintenant sur le Golgotha.

Maintenant, il est vieux, fragile, sans défense et dépossédé (Pape). Néanmoins, bien que captif, ses paroles font trembler le monde entier.

Rome ! ... Je te rendrai visite quatre fois !

La première, J'ébranlerai tes terres et ses habitants.

La deuxième, J'apporterai massacre et extermination jusqu'à tes murailles. Tu n'ouvres pas encore les yeux ?

Je viendrai une troisième fois ... et le règne de la terreur, de la peur et de la désolation commencera.

Mes sages fuient, ma loi est foulée aux pieds, Je viendrai donc une quatrième fois. Malheur à toi si ma loi reste encore un vain mot ! Ton sang et le sang de tes fils laveront les outrages que tu as faits contre la volonté divine. »

Mais notre Seigneur console aussi les fidèles à travers les mots dits à Jean Bosco dans la même vision :

« Les choses, d'après vous, avancent trop lentement, mais la grande Reine du Ciel s'approche, la puissance du Seigneur est sur Elle. Elle dispersera ses ennemis comme de la fumée. Le vénérable vieil homme (Pape) avec tous ses anciens vêtements lui appartient. Il vient encore un violent cyclone. L'iniquité touche à sa fin et cesse, après deux pleines lunes qui ont brillé pendant le mois des fleurs, l'arc-en-ciel de la paix apparait sur la terre. Le grand ministre verra l'épouse que son roi a revêtue de gloire. Partout dans le monde, le soleil est lumineux et brille comme jamais depuis les flammes de la pentecôte jusqu'à aujourd'hui et comme il ne le sera jamais jusqu'à la fin des temps. »

En 1873, Saint Jean Bosco rapporta une vision :

« C’était durant une nuit obscure, lorsque apparut dans le ciel une splendide lumière. Alors on vit une foule d’hommes, de femmes, d’enfants, de prêtres et de religieux et à leur tête le Souverain Pontife, sortant du Vatican en procession. Mais voici qu’un violent orage, obscurcissant sensiblement cette lumière, semblait livrer une bataille entre elle et les ténèbres… Cependant on arrivait sur une petite place jonchée de morts ou de blessés, et les rangs de la procession s’éclaircissaient beaucoup. Après avoir marché l’espace correspondant à 200 levers de soleil, chacun s’aperçut qu’il ne se trouvait plus dans Rome.

A ce moment-là on vit deux anges qui, portant un étendard, allèrent le présenter au Pape en lui disant :

« Recevez le drapeau rouge de Celui qui combat et disperse les plus puissantes armées de la terre. Tes ennemis sont dispersés et tes fils implorent ton retour. »

Le pontife prit l’étendard avec joie, mais en remarquant le petit nombre de ceux qui étaient restés avec lui, il s’en affligea grandement. »



Malgré ces incroyables et terrifiantes visions que notre Seigneur lui a révélé,Jean Bosco n'a jamais perdu sa paix d'esprit ou l'âme, mais s'est appuyé sur la prière pour apaiser la main puissante de la Justice.

Mai 1862, description du rêve des deux piliers :

Jean Bosco vit la mer, et là, rangée en bataille, des vaisseaux innombrables remplis d'armes de toutes sortes.

Cette immense armada s'apprête à livrer un assaut sans merci à un grand et majestueux vaisseaux, lequel commande à toute une flottille massée contre ses flancs.

Et la bataille navale s'engage.

Or, le vent s'est levé et la tempête se déchaîne.

La mer démontée favorise les assaillants.

Soudain, voici qu'apparaissent, dominant les flots en furie, deux colonnes.

L'une, la plus grande, porte sur son faîte une lumineuse hostie, et sur le fût, cette inscription : «Salut des Croyants».

L'autre où sont gravés ces mots : «Secours des Chrétiens», est surmontée d'une statue de la Vierge Immaculée, ayant un chapelet passé à son bras.

Le socle des colonnes est garni d'ancres, de crochets et de chaînes.

L'assaut tourne à l'avantage des agresseurs.

C'est alors qu'apparaît à la proue du grand vaisseau l'homme qui en assume le commandement.

Et c'est le Pape.

D'où il devient désormais fort clair qu'il s'agit de la Nef de l'Église.

Le commandant suprême du grand Vaisseau (le Pape) convoque à son bord les capitaines des vaisseaux auxiliaires (les Évêques) afin de délibérer des décisions à prendre. La tempête, un instant apaisée, se ranima plus violente, obligeant chacun des capitaines à regagner son navire.

Une accalmie se fit sur la mer et l'hostilité des ennemis parut fléchir. La grande Nef reprit sa route.

Le pilote suprême en profite pour appeler de nouveau les autres pilotes à son bord. Mais voici, soudain, que la tempête une fois encore se déchaîne, plus violente que jamais.

Mais les colonnes sont toujours là, dressées immobiles sur la mer en furie. Et le Pape, tenant ferme la barre, s'efforce de maintenir la Nef entre elles deux.

Or, le Navire est assailli de toutes parts et de toutes les manières.

Les vaisseaux ennemis vomissent le feu de toutes les gueules de leurs canons, ou foncent sur lui, le frappant de leurs étraves cuirassées. Pourtant, quelque acharnement qu'ils mettent en leurs assauts, et quelques très grands dommages qu'ils infligent, les efforts des ennemis ne peuvent venir à bout de la grande Nef.

D'un formidable coup de sa proue, un vaisseau des assaillants ouvre une large blessure dans le flanc de la Nef de l'Église. Mais un souffle mystérieux, venu des Colonnes, referma la brèche par où allait s'engouffrer la mer.

La confusion se met alors dans la flotte ennemie. Dans le vacarme énorme du combat, ses propres vaisseaux se heurtent entre eux, se brisent et coulent.

L'ennemi entreprend alors sur les ponts un corps à corps furieux ; les mains et les poings se tordent dans la mêlée, pendant que pleuvent blasphèmes et malédictions.

Tout à coup le Pape est frappé. Il tombe, ses sujets le relèvent ; mais un deuxième coup l'abat ; il est frappé à mort.

Un cri de victoire retentit. Sur les vaisseaux ennemis on exulte et on danse.

La mort du Pape est à peine connue que le successeur est élu.

Les adversaires perdent courage. Le nouveau Pontife passe à travers tous les obstacles et conduit le Vaisseau entre les deux Colonnes, où il amarre solidement la proue à la Colonne de l'Hostie et la poupe à celle de la Vierge.

Alors, panique générale, désordre indescriptible. Tous les ennemis se dispersent. Leurs navires se heurtent et se brisent. Ceux qui coulent tâchent de faire couler les autres.

Quelques vaisseaux qui avaient lutté vaillamment, pour le Pape viennent, eux aussi, s'attacher aux colonnes. D'autres qui, loin du danger, avaient attendu prudemment la victoire, suivent leur exemple. Sur la mer règne maintenant un grand calme. »

Source: Toutes les Prophéties - Prophétie de Saint Jean Bosco

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