Joachim (Marcel) Nguyễn Tân Văn est né le 15 mars 1928 et il est mort dans un camp de travaux forcés le 10 juillet 1959 au Viêt Nam. - (Résumé de sa vie)
Prophéties
Marcel Van écrit :
« Pour moi, tout ce que je sais, c'est que Jésus veut rétablir en ce monde le règne de son Amour ; c'est par le lien de l'Amour qu'il veut ramener l'unité dans le monde, faire du monde un royaume qui lui appartienne en propre. Le règne de son Amour deviendra un pilier de feu qui soutiendra le monde sur le point de se disloquer. Et si le monde revient à la vie, il le devra à cette flamme d'Amour. »
Le destin de la France et du Vietnam
En 1945
«Van, n'oublies pas le pays que J'aime le plus, tu entends ?....Le pays qui a produit la première petite fleur qui, depuis, en a engendré beaucoup d'autres..... Cette petite fleur, c'est celle que J'ai choisie pour être ta sœur ainée, Thérèse... Van, considère cette fleur-là et comprends ceci : c'est en France que mon amour s'est tout d'abord manifesté. Hélas ! Mon enfant, pendant que le flot de cet amour coulait par la France et l'univers, la France sacrilègement l'a fait dériver dans l'amour du monde, de sorte qu'il va diminuant peu à peu. C'est pourquoi la France est malheureuse. Mais, mon enfant, la France est toujours le pays que J'aime particulièrement. J'y rétablirai mon amour. Et pour commencer à répandre sur elle mon amour, Je n'attends désormais qu'une chose : que l'on m'offre suffisamment de prières. Alors, mon enfant, de la France, mon amour s'étendra dans le monde. Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout...
Surtout, prie pour les prêtres de France, car c'est par eux que J'affermirai en ce pays le «Règne de mon Amour....»
« Pour ce qui est de notre temps, le Vietnam, la France est actuellement son ennemie ; mais dans l’avenir, elle fera de lui un pays qui me rendra un plus glorieux témoignage… O Van, ce que ta sœur Thérèse fait pour toi, tu dois le faire aussi pour la France. Je veux que l’union qui existe entre les deux petites fleurs (France et Vietnam) soit le symbole de l’union que Je veux voir régner entre la France et le Vietnam. Mon enfant, souviens-toi que c’est avec la France, que ton pays le Vietnam parviendra à consolider le Règne de mon Amour. Prie pour que les deux pays ne fassent plus qu’un ensemble…
O mon enfant, mon amour te donne le nom de seconde petite Thérèse. Dans le ciel, Je te donnerai pour mission d’aider ta grande sœur Thérèse à inspirer au monde la confiance en mon amour… »
«O mon enfant, prie pour le pays que J'aime particulièrement. Ah ! La France. Si on ne prie pas, elle sera encore une foi malheureuse, et le Règne de mon Amour ne pourra que difficilement s'y établir.
Van, ne doute pas de ce que Je viens de te dire, en voyant que la situation en France est déjà un peu plus stable. Mon enfant, Je parle ainsi pour que la France soit avertie et sache prévenir, car l'Ennemi veut faire de ce pays un foyer de discordes. Il faut beaucoup prier.....France ! France ! Promets-tu d'être fidèle ? Es-tu décidée à protéger et étendre le Règne de mon Amour dans le monde ? »
« Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon Amour partout... Surtout, prie pour les prêtres de France, car c'est par eux que J'affirmerai en ce pays le règne de mon Amour.
Van, n'oublies pas le pays que J'aime le plus, tu entends ? C'est en France que mon Amour s'est tout d'abord manifesté.
Ô monde, Dieu veut maintenant te transformer au moyen de l'amour ; il faut que tu vives dans l'amour.... Cependant, pour en arriver là, il faudra beaucoup de prière, car le monde s'oppose encore à l'amour». « Plus tard, tu verras, J’aurai toute une armée d’apôtres et tout ce que Je leur enseignerai, ce sera de m’aimer comme tu m’aimes toi-même. Cependant il me faut quelqu’un qui me serve d’intermédiaire, tu seras cet intermédiaire, n’est-ce pas ? Est-ce que tu acceptes ce rôle ? Il te suffira d’écrire mes paroles. Il y aura ensuite d’autres apôtres qui se chargeront de les faire passer et mon amour se répandra. Dans le cas contraire mon amour s’éteindra dans le monde…
Ces paroles que Je t'adresse ici, seules les âmes simples et humbles sont capables de les comprendre, seules les paroles enfantines sortant d'un cœur aimant ont le don de me charmer. Oui, toi Van, la première petite fleur du Vietnam, tu es bien faible. Je n'ai jamais vu une âme plus faible mais peu importe car il ne te reste qu'à aimer et le reste, Je m'en charge.
Van, n'oublie pas le pays que J'aime le plus, le pays qui a produit la première petite fleur qui depuis en a engendré beaucoup d'autres. Cette petite fleur c'est celle que J'ai choisie pour être ta petite sœur aînée, Thérèse.»
La Guerre
«Pendant la bénédiction du Très Saint Sacrement, j'ai vu Jésus assis me prendre sur ses genoux (j’avais alors la taille d'un petit enfant) et m'étreindre dans ses bras. Je ne cessais de le regarder et Lui, de son coté, me regardais aussi puis, approchant son visage du mien, Il me donna un baiser.
Ensuite, me faisant signe de regarder devant moi, Il me dit à l'oreille : «Regarde la France, regarde la France» «Je tournai donc la tête et portai mon regard dans la direction qu'Il m'indiquait de la main ; j'aperçus un Drapeau Noir qui était planté là.
Quand à ma sœur Thérèse, de son bras gauche, elle m'entourait l'épaule gauche et de ne cessait de me regarder en souriant comme si elle n'avait pas remarqué le drapeau planté devant elle.»
Un instant après, Jésus regarda ma sœur Thérèse et dit : «Pauvre France ! Une fois libéré du Communisme, elle aura affaire à une société secrète plus perverse encore : la Franc-maçonnerie.»
Puis Il me dit : «Mon enfant, prie pour la France, sinon malheur à elle. » En disant ces paroles, Il avait l'air plus triste qu'au paravent, mais je ne l’ai pas vu pleurer. J'ai constaté seulement qu'Il fixait du regard le Drapeau Noir qui se trouvait là ; puis me regardant de nouveau, Il sourit et me recommanda de vous communiquer ces choses...
Durant la méditation qui suivit je revis ma sœur Thérèse. Elle avait d'abord les yeux fixés sur le drapeau puis elle me regarda de nouveau, ne cessant de sourire. Mais au moment où elle leva une seconde fois les yeux vers le Drapeau Noir, les larmes inondaient son visage. Le regard fixé sur le drapeau, elle ne cessait de verser d'abondantes larmes. J'en fus tellement ému que je me mis moi même à pleurer. Thérèse pleurait toujours. C'était la première fois que je la voyais pleurer ainsi. Maintenant encore, quand j'y pense, je ne peux retenir mes larmes.
Ma sœur leva ensuite les yeux sur Jésus qui, lui ne pleurait pas, se contentant de regarder le drapeau. J’ai entendu alors ma sœur Thérèse, toujours en pleurs, parler à Jésus en français. Je n'ai retenu que quelques mots que, d'ailleurs, je ne peux écrire correctement.... Elle disait :«O mon Jésus...Jésus… Embrasse toi...La France....» C'est tout ce que j'ai retenu et je n'y comprends rien. Ma sœur Thérèse me regarda de nouveau, ses larmes avaient cessé de couler et elle me dit :«Mon cher petit frère, qu'est ce que tu penses de cela ? »
Je me contentai de lui répondre :«Tout ce que je peux faire c'est de prier» Elle ajouta :«Oui, mon petit frère, prie, ne cesse de prier» Vers la fin de l'oraison, je vis que le Drapeau Noir était brisé et qu'il gisait par terre.
Alors, Jésus se pencha de nouveau sur moi. Comme au début... Thérèse fit de même et je ne vis plus rien, si ce n'est mes larmes qui coulaient en présence d'un si grand amour.
Quand je me voyais assis sur les genoux de Jésus, je tenais en main du papier et une plume et j'étais très beau, n'ayant pas la taille que j'ai maintenant mais celle d'un enfant de 4 ans. Ma sœur Thérèse était, elle aussi très belle. Cette fois, je l'ai vue plus distinctement ; son visage frais et souriant venait encore ajouter à sa beauté. »
La Vierge Marie (Ces révélations se rapporte aux temps où la Vierge Marie écrasera le dragon (Satan), à l’époque de la venue de l’antéchrist.)
«Mon petit Van, voici une chose que Je te recommande et que tu devras mettre en pratique. Je fais la même recommandation à ton père spirituel : demain, premier samedi du mois, jour qui m'est consacré, Je ne te demande rien d'extraordinaire, mais seulement d'offrir tes œuvres à l'intention de mes petits apôtres, ceux-là qui doivent plus tard établir mon règne sur terre, afin que remplis de ferveur et de courage, ils puissent tenir tête au monde et à l'enfer.
Mon règne arrivera après celui de l'Amour de Jésus ; et ce règne sera plus ou moins stable ici-bas, selon qu'il y aura plus ou moins de prières. Si l'on prie peu, il durera peu ; mais plus on priera, plus aussi mon règne sera solide et de longue durée.
Vu que mon règne viendra après le règne de l'Amour de Jésus, il ne sera que le signe qui révélera clairement aux hommes le Règne de l'Amour de Jésus, et amènera le monde à reconnaitre que Je suis vraiment Mère. »
Jésus dit à Van :« Il y aura aussi plus tard une armée de la Sainte Vierge... »
« Souviens-toi de prier dès maintenant pour cette faible armée car à peine sera-t-elle lancée dans la bataille, tout l'enfer se lèvera en bloc contre elle de sorte qu'elle se verra comme dans l'impossibilité de lui tenir tête. Mais dans la suite, l'enfer subira une défaite retentissante et alors la Sainte Vierge sera glorifiée sur cette terre. Tu dois prier beaucoup pour que cette armée puisse lutter avec ardeur et courage jusqu'au bout. Cette armée n'existe pas encore actuellement, mais elle existera plus tard.»
Plus loin, Marie donne encore des précisions sur ses futurs apôtres :
«Van, écoute-moi. Comme Jésus te l'a dit auparavant, au début de la lutte, mes apôtres paraitront très faibles, si faibles qu'on les croira incapables de tenir tête à l'enfer. Par là, mes apôtres apprendront à être plus humbles.
Cependant, plus l'enfer aura été victorieux auparavant, plus il sera honteux ensuite, car ce ne sera pas moi en personne qui écrasera la tête de Satan, mais mes enfants. Voyant que J'utilise mes faibles enfants, comme autant de pieds pour lui écraser la tête, Satan sera honteux... Ensuite, mon règne s'établira peu à peu dans le monde, comme Jésus te l'a dit.
Je serai beaucoup glorifiée sur la terre, mais, petit enfant, il faut que tu pries beaucoup pour mes petits apôtres. Prie en paroles, prie par tes soupirs, prie par tes désirs...»
Le 6 janvier 1946, Van fait allusion à la fin du monde dont bien des gens disent qu'elle est proche. La Sainte Vierge répond :
« Pour ce qui est de la fin du monde, Je n'en sais absolument rien... Laisse à la Sainte Trinité le soin de s'en occuper.
Pour moi, tout ce que Je sais, c'est que Jésus veut rétablir en ce monde le règne de son amour ; c'est par le lien le lien de l'amour qu'Il veut ramener l'unité dans le monde, faire du monde un royaume qui lui appartienne en propre.
Le règne de son amour deviendra un pilier de feu qui soutiendra le monde sur le point de se disloquer.....et si le monde revient à la vie, il le devra à cette flamme d'Amour.
Prie mon enfant, prie beaucoup pour que le Règne de l'Amour de Jésus soit établi sur terre dans toute sa beauté, et qu'il en soit de même pour mon propre règne. Le monde entier me reconnaitra pour sa véritable Mère, et c'est alors qu'il comprendra clairement l'amour dont mon cœur déborde pour lui.
Prie, le Règne de l'Amour arrivera bientôt dans le monde et mon règne à moi le suivra de près....
Petit Van, sache que Je choisis mes apôtres dans tous les pays et il y en a dans chaque pays. Ils se divisent en deux groupes avec la même mission et le même but : l'expansion de mon règne dans l'univers. L'un de ces groupes se charge spécialement de prier, l'autre d'annoncer au monde la venue de mon règne.
Je te communique ceci : les apôtres qui travaillent à l'expansion de mon règne, Je les choisirai exclusivement dans le Royaume de l'Amour de Jésus, car en ces temps-là, le monde sera devenu le Royaume particulier de Jésus.
Mon petit Van, si Je t'annonce ces choses, c'est dans l'unique but de t'exhorter à la prière. Dis bien à tout le monde que c'est sur le solide fondement de la prière que s'établira mon règne en ce monde. Et toi, donnes-moi le nom de Mère de Tout L'Univers... »
Jésus dit à Van :
"J'ai déjà promis aux enfants le royaume des cieux, et ils n'ont rien d'autre à faire que de l'accueillir. (…) Malheureusement Van, il semble que maintenant, les enfants, par leur manière d’agir, veulent souvent rivaliser avec les adultes. Et le plus terrible c’est que d’ordinaire, le monde leur fait connaître le péché plutôt que Moi. (…) Il faut arracher les enfants aux ténèbres du monde…
Oh ! Malheur au monde s’il n’avait pas les enfants pour offrir un lieu de refuge à la bonté de Dieu ; il serait alors anéanti par la justice Divine. (…)
Jésus lui révèle alors la levée d’une multitude de jeunes apôtres de l’amour, mais en ajoutant « Ce n’est pas pour tout de suite ».