Franz Joseph Kugelbeer (ou le voyant de Vorarlberg) était un agriculteur habitant prés du lac de Konstanz en Allemagne. Franz avait communiqué ses visions au Père Ellerhorst lors d’entrevues personnelles.Il racontait que ses visions se produisaient comme dans un rêve et le mettaient dans un état de veille comme s’il voyait un film en couleur et image.

Une voix claire a demandé à Franz d’écrire ce qu’il avait vu. Selon le prophète, sa première vision a eu lieu lors d’un rêve en 1922 et c’est plus tard qu’il a commencé à voir des choses alors qu’il était éveillé.

C’est à ce moment là que la voix a commencé à lui donner des avertissements sur ce qu’il voyait.

Prophéties

Un père bénédictin nommé Ellerhorst a écrit en 1923 les prophéties qu’il a recueillies d’un agriculteur dans la région de Bregenz. On pense que c’est très sûrement Franz Kugelbeer qu’il avait rencontré, car l’endroit, l’époque et les déclarations coïncident presque exactement avec les autres prophéties de Franz Kugelbeer.

Ce texte est une compilation de toutes ses prophéties :

« Le Christ s'éloigne pressé par la méchanceté humaine, et le peuple est abandonné à lui-même, et au prince des ténèbres. La corruption générale et la famine poussent même les gens à broyer l'écorce, afin d'en extraire de la farine et en faire du pain ; même l'herbe dans les prés sera utilisée comme aliment.

On sera envahit d’une peste semblable à de grandes tâches noires, comme si le soufre remplissait tout le bien où il pouvait passer.

Il y aura des émeutes politiques, au cours desquelles beaucoup seront emprisonnés et exécutés.

Des filles et des femmes seront violées publiquement puis menacées de mort.

Évadez-vous dans les montagnes et écrasez les prêteurs sur gages.

La catastrophe viendra soudain de la Russie.

Au cours de la nuit viendront les communistes, en rapport avec des nazis, apportant la tempête sur les monastères et le clergé.

Tout d'abord, la catastrophe va frapper l'Allemagne, puis la France, l’Italie et l’Angleterre. Partout il y aura des tumultes et la destruction.

Le voyant voit une grande et longue route. De chaque côté des routes il y aura des soldats, des hommes, des femmes, des personnes âgées et des enfants, et une guillotine avec deux bourreaux ; le sang des décapités coulera librement.

Les zones du autour du Rhin seront détruites par des avions que par les armées.

Les avions délireront comme des hirondelles et laisseront tomber des bombes comme tombent les gouttes de pluies.

Même Munster sera pris.

Paris est détruit dans le feu ; Marseille tombe dans un abîme qui s'est formée autour de la ville, comme dans un évier et sera recouvert par une onde de tempête.

L’Autriche se soulève, car il n’y a plus d’argent. Les fonctionnaires et la police abandonnent. Il n’y a plus aucun tribunal. On emprisonne d’honnêtes citoyens et des prêtres.

A Bregenz, on tire des coups de feu dans une cour.

Ensuite, les agriculteurs créent un groupe pour maintenir l’ordre.

Les citoyens aimant leur prochain sont merveilleusement épargnés, et ceux qui les traitaient durement seront punis.

On assassinera en masse à Rome, il y aura des monceaux de cadavres du clergé et de citoyens.

Le pape s'enfuit avec deux cardinaux dans une vieille voiture à Gênes, puis en Suisse.

Puis il va Cologne, où il inaugure un nouvel empereur dans la cathédrale, pour lui oindre la tête et les mains.

Dans la cathédrale, un jeune homme habillé en civil s’habille dans la sacristie en habits d’officier, qui ressemble à ceux de l’armée hongroise.

Dans le chœur, il y a deux trônes. Les deux grands monarques (Pape et empereur) ont les mains oints.

Le jeune homme reçoit l’accolade de l’autre. Il reçoit une longue épée chevalier, l'ancienne couronne impériale, un manteau blanc avec une fleur de lys d'or, le sceptre et le globe.

Puis il échange le sceptre contre une croix de l'église et jure fidélité et lui promet sa protection. Les personnes dans la joie chantent Te Deum. Le grand monarque dirige son épée dans plusieurs directions dans le signe qu’il protègera l’église. Il est accompagné d’une armée d’anges, sous la direction de Saint Laurent.

Le monarque vainc tous ses ennemis. Puis l’empereur et le Pape se retirent en Italie. »

« Pendant trois jours et trois nuits il y aura une longue obscurité. Elle commencera par un tonnerre terrible ou un tremblement de terre.

Pas un feu ne brûlera.

Personne ne pourra ni manger ni dormir, mais seulement prier. Seules les bougies bénites brûleront.

Des flashs de lumière vont pénétrer dans les maisons. Celui qui regardera à la fenêtre par curiosité sera pris par la mort.

Adorons le Précieux Sang de Jésus et appelons Marie.

La terre sera prise de tremblement et la mer d’un séisme. Dans certaines maisons on entendra les fils des océans, les démons qui travaillent.

Le diable viendra chercher tous les méchants vivants qui imploreront en vain de prolonger leur vie.

Une partie de la population va appeler Jésus et Marie, tandis que l'autre jurera et maudira. Des vapeurs de soufre et de puanteur rempliront l'air.

Une croix apparaîtra dans le ciel comme au milieu d’un visage. Cela signifiera la fin de la nuit.

La terre sera déserte comme un cimetière géant. Les gens effrayés sortiront de leurs maisons.

Les morts seront lus ensemble (une seule messe pour tous les morts) et enterrés dans des fosses communes.

Dans les rues, tout est silencieux, et dans les usines pas une machine ne travaille, parce que personne n'est là. Il n’y aura ni chemin de fer, ni navires, ni voitures dans un premier temps.

Les survivants sont des gens saints. La terre se transforme en un paradis.

Le voyant entend des voix de prêtres prononcer des prières tout haut, en langue allemande, ce sont les mêmes paroles que celles de la consécration.

Dans la soirée, il y aura des actions de grâces.

Les marchandises non réclamées sont réparties entre les survivants.

L'homme gagne les zones les plus dépeuplées, les gens sont envoyés là où c’est nécessaire.

Les gens descendent des montagnes pour aller vivre dans les plaines, où le travail est moins difficile.

Les anges sont des personnes en paroles et en actes.(Ils sont réels) »