Da Feiz Hon Tado Kozh



Prophétie de Marie-Julie Jehanny.


Marie-Julie, l’extatique la plus extraordinaire de l’Eglise contemporaine, dont la vie fut un miracle permanent, prédit en 1896 :

Il y aura trois jours de ténèbres physiques. Pendant trois nuits et deux jours il y aura une nuit continuelle. Des cierges en cire bénits pourront seuls donner de la lumière pendant cette horrible obscurité. Un seul cierge suffira pour les trois jours. Mais dans les maisons des impies et des blasphémateurs il ne donneront aucune clarté. Pendant ces trois jours de ténèbres, les démons apparaîtront sous les formes les plus hideuses et les plus épouvantables. Vous entendrez dans l’air les blasphèmes les plus horribles. Les éclairs pénétreront dans vos demeures, mais il n’éteindront pas la lumière des cierges bénits. Ni le vent, ni la tempête, ni les tremblements de terre ne pourront les éteindre.
Des nuages rouges comme le sang parcourront le ciel. Les fracas du tonnerre ébranleront la terre; des éclairs sinistres sillonneront les rues dans une saison où ils ne se produisent jamais.
La terre sera remuée jusque dans ses fondements. La mer soulèvera des vagues mugissantes qui se répandront sur le continent. Le sang coulera avec tant d’abondance que les hommes en auront jusqu’à la ceinture. La terre deviendra comme un vaste cimetière. Les cadavres des impies et des justes joncheront le sol. La famine sera grande. Enfin, tout sera bouleversé et les trois quarts des hommes périront. La crise éclatera presque subitement ; les châtiments seront communs au monde entier et se succéderont sans interruption.



A Marie-Julie Jahenny, le Seigneur avait demandé de faire publier ses prophéties à partir de 1970. Le Seigneur fit aussi connaître à Sœur de la Nativité, la Clarisse de Fougères, que si le jugement arrivait dans le siècle de 1900, il ne viendrait que vers la fin, et que si le monde franchissait ce siècle, les deux premières décades du siècle de 2000 ne passeront pas sans que le jugement intervienne.

Source du texte ci-dessous: Apparitions Mariales - Marie Julie

AVERTISSEMENTS - Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny 16 mars 1880

Marie-Julie : « Je contemple la très sainte et immaculée Mère de Dieu. Elle vient à nous, toute joyeuse, et le sourire à de ses lèvres fait battre d’amour nos cœurs. Elle dit :

Notre-Dame : « Mes enfants je suis votre Mère. Je viens vous parler cœur à cœur, au nom de mon Fils, et vous apportez Ses paroles bénies… Mon divin Fils prépare, en union avec Ses élus, une fête d’allégresse qui sera célébrée en ce lieu où nous sommes maintenant, dans ce lieu où Je suis descendue.

Sous peu, la voie de l’ange qui a tout dirigé parlera. C’est à lui que mon divin Fils donne l’ordre d’inviter, par une voix intérieure, les véritables amis. Ceux-ci l’entendront les premiers, cette voix douce qui leur dira : « Levez-vous, chers amis, tous ensemble et venez sous le regard du Seigneur »…

« Voici l’objet de cette fête : mon cher Fils descendra, en pleine gloire, dans ce lieu sanctifié par Sa présence. Tous les cœurs de nos amis généreux en ressentiront une très suave impression de bonheur. Ce sera un céleste ravissement pendant lequel tous les cœurs seront décorés de la Croix, dont sublime d’amour… Chacun d’eux entrera dans de grands et glorieux desseins qui ne cesseront plus d’opérer.

Mes enfants, puisque vous êtes destinés à travailler dans l’œuvre de la Croix, vous ne pouvez avoir de décoration autre que la croix. Chacun connaîtra sa mission, chacun aura son emploi… C’est avec le sourire que je vous communique ce divin secret. Le travail des apôtres de la Croix va devenir immense. Mon divin Fils veut que tout soit recueilli pour Sa plus grande gloire et pour le comble des grâces qu’Il veut donner. Il veut en retour, que ses enfants lui donnent tout le travail de leur esprit et de leurs mains. Ces mains et cet esprit ont été créés pour Le servir. Voilà comment, mes enfants, les œuvres d’abord secrètes et comme voilées en apparence arriveront doucement à leur terme…

Mes enfants, ce n’est point près d’ici que nous allons choisir de nouveaux cœurs pour être admis dans la gloire du Très-Haut. Dans ceux qui sont au plus près et qui sont revêtus de l’ordre de la grâce, mon divin Fils n’a trouvé aucune science capable de Le glorifier. En peu de temps, mes enfants, des foules descendront les chemins étroits qui conduisent à ce lieu solitaire mais, désormais, ce nom de solitaire ne sera pas porté longtemps. Ce lieu deviendra grand ! d’une immense grandeur ». Marie Julie : « Pourquoi, Bonne Mère, plus qu’autrefois ses visites d’âmes ? »

Notre-Dame : « Ces âmes viendront, poussées par une grâce extraordinaire, pour ramasser les grâces visibles du Ciel… Mes enfants, tant de peines, tant de travaux, tant de larmes et de croix seront si hautement changés en prodiges que, bien que, depuis l’époque du Calvaire jusqu’à ce jour, de grandes œuvres se soient opérées, je n’ai jamais remarqué de fleuves remplis de grâces, comme il en est réservé pour ce lieu, ici ou je vous parle maintenant… » Marie Julie : « Oh ! Bonne Mère, après tout ce que votre bouche nous révèle, comment vivre encore sans vous aimez jusqu’à la sainte folie ? »

Notre-Dame : « Mes enfants, une montagne a été élevée ici… une montagne chaque jour s’élève par le travail du Dieu tout-puissant : vous êtes dessus. Chaque jour vous vous élevez davantage par la grâce. Bientôt la terre aura fui de vos pensées. La terre sera si basse alors que tous les pèlerins qui viendront vers votre montagne, répandront une sueur abondante, tant elle sera difficile à gravir. Je veux dire qu’ils comprendront combien le Saint des saints est admirable dans ses desseins, combien il mérite d’être béni et exalté dans ses prodiges. Cette sueur qu’ils répandront, ce sont les larmes qu’ils verseront pour n’avoir pas voulu plutôt goûter la grâce si précieuse que goûtait le petit nombre des enfants appelés nouveaux par la grâce. Mais il leur sera difficile de gravir la montagne où seront élevés tous les bénits de mon Fils. À force de regrets, à force de peines et de repentir, dans l’avenir des années, ils y parviendront. Mais les premiers seront élevés bien haut et ravis mystérieusement dans l’œuvre de mon Fils ». « C’est mon Fils qui, à Son tour va commander. Voilà comment les œuvres secrètes arrivent doucement à leur terme, après avoir été longtemps voilées en apparence. Vous êtes appelés à une régénération extraordinaire. Vous serez appelés les enfants du monde nouveau… ».

Le discernement des messages

4 mai 1880 :

Introduction du Père Pierre Roberdel (Cris du Ciel sur le Temps qui vient) : Le ciel nous avertit qui faut s’attendre, en approchant de la fin du siècle, à ce que partout se multiplient les visites de Dieu et de sa sainte mère. Il y aura un nombre rapproché de faits prodigieux qui, tous, ne seront pas heureux, car l’Enfer redoublera aussi ses efforts. On nous décrit le cachet qui permettra de reconnaître les œuvres de Dieu. Les cas de possession seront nombreux.

« Gloire au Père…J’adore le divin Crucifié…

Les flammes portent ces paroles du Saint Esprit : « Je suis la voie de la vérité et de la vie. Je suis l’instituteur divin de ton âme, la lumière de ton cœur, la sûreté infaillible de ton esprit ».

… Le soleil me fait voir que toute vie, qui n’est pas celle de Dieu, rencontre les plus terribles difficultés pour s’expliquer ce qui se produit aux yeux de l’âme. Ces difficultés viennent de ce que Dieu n’y a pas semé la semence de Sa parole qui rend facile aux âmes les vérités les plus difficiles. Les voies de Dieu sont pleines d’une lumière débordante. Quand on y entre, on ressent une douce chaleur… Les voix contraires à celle de Dieu semblent d’abord donner une très grande connaissance, mais cette connaissance s’évanouit à mesure qu’on avance dans la voie. Ce qu’elle faisait voir d’abord devient ténébreux, et tout se fond dans une profonde inquiétude, et leur paix se trouble.

Les voies de Dieu restent toujours réellement claires. Elles nous laissent souvent apercevoir, avant même que nous y soyons arrivés, la chose divine que Dieu veut nous faire connaître. On n’y reçoit l’assurance que c’est Dieu qui nous conduit. Dans les voies de Dieu, on peut rencontrer quelquefois de légers obstacles, mais la faute en vient de nous, d’un manque d’attention…

Cela est arrivé aux savants les plus saints qui s’enfonce profondément dans les traités sur les voies de Dieu. Ce n’est qu’un manque d’attention, une occasion de purification de l’âme et de l’esprit.

Les voies de Dieu ne sont pas égales mais, malgré leurs différences, elles sont toujours faciles à gravir. Il est toujours facile de reconnaître la vraie lumière : à la paix qu’on y goutte. C’est le cachet de Dieu.

Il y a des voies qui sont vraies au commencement mais qui, au quart, au milieu ou à la fin, deviennent fausses. C’est qu’une voie commencée sans l’aide de la grâce ne peut arriver à bonne fin. (Ab. P.R. : Pour juger définitivement des voix mystique d’une âme, il faut attendre la fin de sa vie terrestre. Une âme, même véritablement favorisée au début, peut dévier par la suite si, par manque d’humilité, et se laisse prendre au piège de la vaine gloire).

Voici le cachet qui nous assure que nous marchons dans la voie de Dieu. Le doigt de Dieu écrit trois preuves visibles :

La première, c’est la paix qui règne dans le plus fort de l’orage.

La seconde, c’est la totale soumission aux desseins de Dieu : dans la peine comme dans la joie, la foi ne diminue pas.

La troisième, c’est que l’amour de Dieu ne survit pas dans les voies qui ne sont pas de Lui ; Il ne prête pas son langage aux paroles et des explications. (Ab. P.R. : Celui qui n’est pas dans la voix divine cherche, avec insistance, à se justifier à force d’explications. Celui qui est dans la voix véritable se tait après avoir donné le message divin ; il laisse à Dieu le soin de le justifier).

Le soleil dit : « Dans ce temps et un peu plus tard, il y aura un grand nombre d’âmes obsédées et possédées par l’esprit infernal. Leur délivrance sera d’autant moins facile que l’esprit infernal s’emparera de toutes les fibres de leur cœur, pour mieux les endormir dans sa possession.

Pour leur rendre la liberté, il faudra au Pères (exorcistes), que le Ciel soumettra à cette dure épreuve, un grand nombre de pénitences de mortifications. Quand, lors des prières de l’Eglise, on donnera à l’infernal l’ordre de sortir (du possédé), qu’on ne manque jamais de se munir de la Croix, qui est l’arme invincible pour terrasser le démon et lui imposer sa rentrée aux enfers !

Dans le temps où toutes les misères seront au comble et le mal à son sommet, en beaucoup d’âmes, dans vos contrées – non pas dans vos demeures ou auprès – il se fera bien du bruit par l’acharnement de ces redoutables possessions. L’ennemi prophétisera, par la bouche de ces possédés, un avenir de choses délicates, prophétisera en apparence, mais, à l’examen cela se révélera grossier, quand on en méditera le mensonge ».

Le soleil me fait voir que toutes ses possessions seront produites par le dérèglement de la foi, et par toute une suite de péchés de faiblesse et de découragement. Un grand nombre de d’âmes auront à souffrir de toutes ces misères.

Je vois aussi que les lumières du Ciel couleront, plus nombreuses que jamais, dans l’esprit des Pères de l’Eglise. Ils recevront, de la bonté de Dieu, une grâce de discernement sur toutes ces choses auxquelles il faut s’attendre.

Dans la lumière du soleil, je vois se renouveler, dans les temps où nous sommes, la grâce que reçurent les premiers Apôtres. Ils avaient la lumière qui ne permettait pas au serpent infernal de laisser sa morsure sur la foi du peuple chrétien. Avec ce don de Dieu, il n’y aura ni crainte ni inquiétude au milieu de tous les désordres ; il sera fait, pour la gloire de Dieu, tout ce qui est au pouvoir des enfants de la foi.

Dans une flamme particulière du soleil, je vois que, loin de notre pays (la Bretagne), Notre Seigneur et sa Sainte Mère ont daigné visiter un peuple accablé, sous la terreur du Ciel, par la justice contre le péché. Le nom de ce peuple, c’est Dijon. Je vois ce mot parfaitement gravé.

Ce qui attire en ce lieu la visite de Dieu et de la Sainte Vierge, c’est un groupe d’âmes ayant fait vœu de pénitence, et aussi le vœu d’implorer pour obtenir le pardon du blasphème et réparation de la foi qui est perdue en bien des âmes.

Dieu dit :

« Ce n’est point la grande partie de ce peuple qui m’attire en ce lieu, c’est le groupe très faible qui a fait fléchir Mon Cœur et Ma bonté ». La Sainte vierge porte un trait sur son cœur, un trait qui n’a pas été lancé et dont la pointe menaçante reste cachée sous son manteau. Elle porte, en pleurant, la main vers l’autre bout du trait, vers celui tourné vers le ciel.

Je voix que Notre Seigneur doit visiter encore ce peuple, mais non avec Sa Sainte Mère. Il doit lui faire passer la sévérité de trois paroles :

Voici la première : « Si, au bout de quarante jours, le peuple de ce lieu n’observe par la loi chrétienne, je réduirai, lui qui m’était fidèle dans les temps passés ; je le réduirai sur des charbons ardents »…

1880-06-28 :

Marie Julie : « Je contemple la très Sainte Mère de Dieu. La tristesse de deuil sont peints sur son visage ». Notre-Dame : « Mes enfants, en cette fin de mois et au commencement de celui qui est consacré au Précieux Sang, je visite tous mes enfants que mon Fils divin a appelés aux dons de Sa grâce. Je les visite pour les préparer à recevoir cette parole : L’été est proche ! le soleil de la terre, qui vous a vu naître, va voir disparaître de sa lumière beaucoup de ces âmes que la grâce a visitées…

Mes enfants, remarquez bien ma parole ; si cette parole passe mes lèvres, c’est qu’auparavant elle est tombée de celles du Créateur. Au moment où toute la douleur poussera son cri, il y aura un grand nombre d’âmes qui recevront beaucoup de missions et qui les prendront comme venant de la divine puissance de mon Fils.

Remarquez bien ma parole, mes enfants. Toutes les voix des hommes qui conduisent les lois, ces voix n’arrêteront point les paroles publiques de ces âmes nombreuses qui recevront, tout à coup, des missions différentes les unes des autres. Il leur sera communiqué de publier, sous peine de mort, tout ce qui leur sera communiqué.

Mes enfants, faites attention à mes paroles. Beaucoup de ces missions seront mauvaises, ce sera même le plus grand nombre.

Mes enfants, vous avez assez de science pour savoir que jamais mon divin Fils ne fait publier, d’un bout à l’autre du monde, toutes Ses paroles à moins que ce ne soit très grave et pour mettre à l’abri les âmes fidèles.

Dans ses missions, on communiquera des choses tellement fortes à croire que, dès que les vrais chrétiens les liront, ils verront sans autre sans examen que la Voix divine n’est pas dedans. L’ennemi des Enfers se promettait, lui aussi, de donner à beaucoup d’âmes la mission de révéler ces choses nuisibles à mon divin Fils et à mon peuple chrétien. Cela fut dit, par l’ennemi, à la bienheureuse Marguerite du Très-Saint-Sacrement ».

Marie-Julie : « Je ne la connais pas, ma Bonne Mère ».

Notre-Dame : « Ne soit pas inquiète, ma fille, elle est connue. Mes chers enfants, la même parole fut dite à la sœur Saint Pierre de Tours, morte en odeur de sainteté. Au moment de sa mort, la rage de l’ennemi infernal était épouvantable.

Satan lui lâcha cette parole : « En 80, 81 et 82, je ferai beaucoup de révélations. Je continuerai jusqu’à 83… (Si on en croit les annonces prophétiques de Satan, le père du mensonge, à Marie de Saint-Pierre du Carmel de Tours, paroles qui furent rappelées à Marie-Julie par la Sainte Vierge, les évènements auraient dû débuter en 1980 pour une durée de quatre années.

A Sœur Lucie de Fatima (+ 2005), la Sainte Vierge lui avait demandé de faire publier le secret de Fatima à partir des années soixante car, à cette date, il serait mieux compris. Le Pape Jean-Paul II a finalement publié la troisième partie du secret pour le jubilé de l’An 2000, le 13 Mai.

A Marie-Julie Jahenny, le Seigneur avait demandé de faire publier ses prophéties à partir de 1970. Le Seigneur fit aussi connaître à Sœur de la Nativité, la Clarisse de Fougères, que si le jugement arrivait dans le siècle de 1900, il ne viendrait que vers la fin, et que si le monde franchissait ce siècle, les deux premières décades du siècle de 2000 ne passeront pas sans que le jugement intervienne.

Sœur Mélanie Calvat (+ 1904), la voyante de La Salette avait annoncé que les évènements se produiraient aux alentours de l’an 2000, que si personne ne priait, ils seraient avancés, et que si beaucoup priaient, ces évènements seraient retardés et même atténués. Il faut croire aujourd’hui que les gens ont bien prié…)


… Satan lui lâcha cette parole : « En 80, 81 et 82, je ferai beaucoup de révélations. Je continuerai jusqu’à 83. Il sera impossible de masquer mon langage. J’imiterai trop bien toutes les paroles du Christ et Ses révélations. En chargeant ces âmes, je veux perdre beaucoup de prêtres pieux, les égarer profondément dans toutes ces choses. Je veux en perdre aussi beaucoup qui ne sont pas prêtres. Si je ne parviens pas à perdre ces âmes, je perdrais au moins la réputation ; je les ferai dénoncer jusque devant le conseil des lois humaines ».

Mes enfants, ces paroles n’ont pu être entièrement rapportées. Je me sers de cette âme (Marie-Julie) pour les révéler tel que Lucifer les vomit aux oreilles de cette humble religieuse.

Mon cœur souffre beaucoup en ce moment. Il y a des peines partout dans le monde… Pour toi, ma fille, vois la souffrance qui descend par flots sous le regard de mon Fils. Vois, à côté, la gloire et les consolations… Sache que mon divin Fils commence par la douleur et finit par la consolation. Ne t’effraie pas si tu vois toutes tes forces s’affaiblir et ton corps mortel se dessécher, tout en conservant la fraîcheur de la vie de la grâce…

Tous les projets ne sont pas encore réalisés… Bien d’autres se dévoileront et s’étendront publiquement contre tous les prêtres, contre les âmes consacrées à mon Fils, et aussi contre ceux qui vivent dans le monde ».

1880-08-30 :

L’extase qui suit nous donne une vue d’ensemble du plan divin de purification :

« Je vois qu’au moment où le Seigneur monté au Ciel, prit possession de son Royaume Éternel, à ce moment, l’enfer devint le Royaume de l’Ennemi. Le Seigneur s’empara de son royaume terrestre et dit : » Je suis établi Roi Éternel. » Satan, furieux, cherche quelque détour pour étendre malicieusement sa puissance… Il demande un partage… Le Seigneur lui dit : » Tu Me seras soumis, tu ne feras que ce que te permettra la Loi Éternelle…

Je te laisse le pouvoir de tenter tous les hommes, de les faire souffrir jusqu’à une certaine mesure, mais Je serai présent… Au commencement, tu ne feras pas beaucoup de prodiges ; ils te serviront à faire le mal. Je te laisse permission de tenter Mon peuple, mais Je ne te permettrai jamais de prendre la forme divine, ni celle de figures véritables… »

Satan dit : » Je transformerai tout en outil de travail contre Vous, je mettrai la révolte, la guerre, la division partout. Je renverserai le temple de Vos prières ; j’y établirai des idoles qu’on adorera. J’y briserai tout. »

Jésus dit : » J’écraserai sous la foudre du Ciel, tous ceux qui te seront donnés pour l’enfer. Je rétablirai Mon peuple ; Je le préserverai des fléaux ; Je relèverai les ruines. Je te précipiterai dans l’abîme, mais seulement après que tu auras usé des pouvoirs que Je te laisse pour le moment… Pendant les ténèbres, il y aura beaucoup de conversions ; beaucoup d’égarés reviendront à Moi par le repentir ».

1880-09-20 :

Marie-Julie demanda à quelle époque Satan devait régner en maître.

La flamme du Saint Esprit lui répondit : « C’est celle où vous êtes maintenant, enfants de Dieu ». « Si les justes n’avaient pas redoublé de prières, surtout en égard des justices annoncées depuis des siècles, la Main du Seigneur se serait appesantie sur tout son peuple, et les plus grandes épreuves auraient depuis longtemps visité Ses enfants ».

1880-11-30 :

Les Châtiments :


« Les foudres du ciel se succéderont avec une violence rapide. Le feu du ciel parcourra la terre sur une largeur effroyable : cette foudre vengeresse brûlera toute pointe qui produit du fruit. Les terres cultivées seront ravagées par la puissance de ce feu ; les prairies seront brûlées et réduites à une terre complètement dépouillée. Les fruits ne paraîtront point ; toutes les branches d’arbres seront sèches jusqu’au tronc.

Enfants de la Bretagne, vous userez, pour conserver vos récoltes, de ce que la bonté de mon Fils vous a révélé : c’est le seul moyen de sauver votre nourriture.

Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonné de frayeur par la colère divine. Ce qui m’attriste, c’est que cette colère n’arrêtera pas la force de l’enfer. On ne craint ni mon Fils ni l’enfer. Il faut que ce temps passe. Le péril de la France est inscrit au ciel par la puissance éternelle. Je ne peux plus intercéder ; je ne suis plus qu’une mère sans puissance.

Pendant plusieurs années, la terre ne produira rien. La France sera malheureuse, même après son triomphe. Pendant deux ou trois ans, elle se ressentira de ces ruines et de ces misères profondes. La misère sera grande, bien que mon peuple soit éclairci. La prière ramènera la bénédiction. Mon Fils et moi, nous aurons pitié de cette longue pénitence.

Mes enfants, priez pour l’Église ; priez pour tous ses ministres priez pour le Pape, car on attentera à ses jours. Ce lieu aussi sera criblé de vengeance, et le mal y fera des sans mesure, malgré la foi d’une grande partie de mon peuple.

Le mal, que j’entrevois si proche, laisse à mon cœur une blessure qui durera toujours : une perte d’âmes considérable, la foi ruinée, le baptême souillé. Toutes ces lâchetés, que je vois, changeront en mauvais chrétiens beaucoup de mes enfants.

La France périra – pas toute, mais beaucoup périront – Elle sera sauvée avec un nombre bien petit… O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussière de l’étranger. Tu ne pourras renvoyer ces étrangers.

Tu fus si noble, ta noblesse sera perdue.

J’ai vu tout passer sur terre. Jamais – je vous le dis avec un cœur de mère – jamais je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats. C’est dès aujourd’hui que je vois toutes ces peines. Oh ! Priez, mes enfants !

Je m’arrête sur ces douleurs. Reposez-vous, mes enfants ».

1881-02-08 :

« Quand vous le pourrez, mes enfants, dites, soir et matin, le Miserere tout entier. Si vous êtes empêchés, dites-le au moins une fois. Si vous ne le pouvez pas, récitez un Pater et un Ave, ou l’acte de contrition au pied de la Croix ou en vous tournant vers l’Église ».

« Priez beaucoup pour l’Église, pour les prêtres et pour les pêcheurs, pour ceux qui vont faire lever le désordre et recrucifier mon Fils… Mes enfants, faites le Chemin de Croix qui, en peu de temps, mènera au Ciel bien des âmes… Faites beaucoup de communions, récitez le chapelet ».

1881-03-08 :

« Les serviteurs du Seigneur font bien la divine volonté. Ils attendent, avec confiance, l’arrivée de toutes choses ».

Les évènements qui vont venir font suite à ce qui est commencé.

Message de Marie-Julie Jahenny par la fille du Oui à Jésus – La Fraudais -Vendredi 13 Mars 2009

« Les évènements encourus ont amené beaucoup de souffrances. Le Christ en Croix a préparé les cœurs à s’ouvrir, afin que ce qui a été annoncé soit dans son accomplissement. Les bruits qui entourent tout ce qui a été annoncé a retenti dans les cœurs de tous les enfants de Dieu: peu ont écouté, peu ont entendu. Ceux qui se sont donnés au Christ Crucifié ont été protégés, et ils sont prêts pour ce que le Seigneur demande. A tous ceux qui laissent le Christ en Croix pénétrer leur vie, ils comprennent que tout ce qui a été dit est maintenant dans l’accomplissement.

Les évènements qui vont venir font suite à ce qui est commencé. Ces évènements, peu peuvent les percevoir ; ils seront terribles pour eux, mais ceux qui se sont préparés, ceux qui se sont laissé transformer par les grâces du Très-Haut, eux vivent ce qui est avec un cœur rempli d’espérance, de foi et d’amour ; la paix règne sur eux. Il faut accomplir ce que notre Dieu a donné à chacun de nous : Sa lumière. Pénétrer la lumière du Seigneur, c’est pénétrer là où chaque enfant de Dieu doit vivre.

Les grâces du Ciel abondent. Il ne faut pas avoir peur, car le manteau de Marie s’est étendu à la surface de la terre pour protéger tous les enfants qui portent en leur cœur la joie du Seigneur. Accomplir la volonté de Dieu a été pour moi un accomplissement d’amour ; accomplissez-vous comme moi je me suis accomplie, et vivez ce jour de grâces avec un cœur d’enfant : soyez humbles, éloignez-vous de tout ce qui est de ce monde, ne recherchez jamais autre que la volonté de Dieu. »

Révélation concernant le dernier assaut de Satan, un peu avant la fin du monde (bien après la fin des temps) Extrait du livre "Cris du ciel sur le temps qui vient" éditions Résiac.

(...) Il se trouve marqué, dans le soleil, un grand tumulte, comme un grand débat entre la loi de Dieu et celle des hommes, comme deux combats. Celui pour la loi de Dieu est très fort ; il s'appuie sur l'Eglise infaillible. L'autre triomphera, un moment, des combattants pour la vérité ; il paraîtra comme mieux inspiré que le combat pour les lois infaillibles. Pendant ce temps, il se passera un tremblement de terre horrible ; la secousse sera effrayante. Sous sa force, les chrétiens, qui se trouveront à parcourir la terre et les chemins, s'ébranleront, tomberont jusqu'à terre et pousseront des lamentations déchirantes. Ce tremblement commencera à trois heures - c'est le chiffre - et durera jusqu'à sept heures de la soirée. Les chiffres sont bien marqués.

Sous cette manifestation de la puissance du Seigneur, la loi des vainqueurs est ralentie par le frémissement de la terre. La loi de l'Eglise, la bonne, reprend vigueur et triomphe pendant dix-huit mois entiers, jour pour jour. Le Seigneur est glorifié par la foi, revenue avec la religion florissante.

Au bout de ces dix-huit mois, il se lève, par tout l'univers, une nouvelle tempête qui attaque.

Les peuples,étrangers se jettent sur le peuple français, qui se rejette sur les autres ; on se déclare une guerre cruelle et un meurtre frémissant.

Au moment de cette déclaration, le ciel se charge de nuages noirs, d'un noir qui fait peur. Au travers de ces nuages, il se forme une croix au sommet du firmament... A la lueur de trois flambeaux, étincelant sur les nuages noirs, on lira :

«Les temps sont proches. Le jugement de Dieu s'avance, pour moissonner son peuple tout entier»

Sur le bras droit de la croix, il est écrit : «Le jugement dernier laisse encore neuf années de vie à son peuple».

Au bout de ces neuf années, jour pour jour, le Fils de Dieu fait homme sera adoré par son peuple, qui le verra, de ses yeux mortels, dans sa grande majesté (Parousie).

Voilà ce que j'ai vu dans le soleil, vu aussi bien que l'on voit le soleil de la terre dans le firmament.

Ces nuages noirs, pleins de terreur, que je vois dans lé soleil, assombrissent toute la terre. Pendant sept jours, le soleil ne paraîtra nullement. Le soleil de la terre n'aura qu'une demi-lumière pour nous éclairer, la moitié de celle d'aujourd'hui. Pendant ces sept jours, il y aura deux jours et deux nuits de ténèbres, de ténèbres distinctes de celles qui, auparavant (les 3 jours de ténèbres), doivent assombrir la terre et y faire du jour une nuit de douleurs.

Voici ce qui distinguera ces deux jours de ténèbres : de sous les nuages noirs il sortira de continuels éclairs, qui se succéderont de quart d'heure en quart d'heure. Ils passeront si vite qu'à peine seront-ils perceptibles. Lors de ces passages rapides, ils n'éclaireront pas l'intérieur des demeures et n'y pénétreront pas. Ils ne passeront qu'à l'extérieur.

Notre-Seigneur prend la parole et dit :

«Mes enfants, à ce moment, il y aura longtemps que tout mon peuple français aura, de ses yeux, contemplé tous ces passages que mon serviteur recueille (par écrit). Il y aura bien longtemps que mes paroles ne dormiront plus, comme maintenant, en attendant le jour où mon peuple s'en nourrira et s'en édifiera».

C'est le Seigneur qui a parlé de sa propre bouche, et la Flamme a attendu. Maintenant, elle reprend et dit que tout chrétien qui, pendant ces deux jours et ces deux nuits, se trouvera dehors, ne s'en retournera point : il restera sur place, tombé à terre, là où il aura été surpris. Personne ne sera capable de rester debout, devant ces faits de la Justice et aussi de la bonté du Seigneur.

Le chrétien fidèle ne mourra pas de terreur et d'épouvante ; mais celui qui n'a pas la foi ne se relèvera pas. A ce moment, il faudra s'appuyer sur la clémence, la bonté et la puissance de Dieu : les trois bâtons qui soutiendront les chrétiens.

«Assez, dit le Seigneur, reposez-vous, mes enfants. Si j'ouvre une lumière qui contient tous ces charitables avertissements de ma part, c'est pour prévenir mon peuple et, en particulier, toutes les familles de la Croix qui iront, se succédant, jusqu'à ce jour» (...)

Dieu annonce pour la France un nouveau "Roi"

"Je suis le Roi de l'Univers. J'ai voulu donner à la France un roi qu'elle a refusé; mais celui que je veux lui donner, elle l'acceptera, le demandera, le placera sur son cœur. Mais, avant d'avoir ce Roi, la France aura une crise et une tempête violente... Après je vous donnerai un second Roi. J'ai déjà voulu vous le donner; je le redonnerai une seconde fois."

Paroles de Jésus à Marie Julie JAHENNY au cours d'une extase :

"Vous tremperez dans un verre d'eau une médaille de Mon Divin Cœur une médaille où est tracée Ma Croix adorable.

"Vous boirez de cette eau deux fois bénite, deux fois purifiée. Une seule goutte dans vos aliments, une toute petite goutte suffira pour éloigner, non pas le fléau, mais les fléaux de Ma Justice.

"Vous donnerez une goutte de cette eau aux pauvres âmes atteintes par les fléaux de maladies inconnues". (On peut utiliser par exemple la Médaille Miraculeuse de la rue du Bac)

Il y aura peu de soleil, peu d'étoiles ni de lumière

Message donné à Marie-Julie Jahenny le 15 juin 1882

Message commenté par Durant Ostoya

"Il se lèvera soudain sur la France de grands fléaux et des calamités que rien ne pourra ni arrêter ni amoindrir (tempête de 1999, inondations catastrophique, canicule de 2003...). Passeront, sur la France, une mortalité innombrable que jamais le monde n'aura vue et des maladies qui seront inconnues (avortement, maladie de la vache folle, sida...). C'est surtout au Centre (Paris) que cette mortalité lancera son fléau.

Je préviens mon peuple qu'à la suite de ces nombreux fléaux en France et qui seront suivis de beaucoup d'autres, je vous préviens qu'un jour se trouvera - et il est marqué - où il y aura peu de soleil, peu d'étoiles ni de lumière pour faire un pas hors des demeures, refuges de mon peuple.

Le jour commencera à croître (donc après l'hiver), ce ne sera pas eu fort de l'été (pas en été), ni dans les jours les plus longs, courts encore. Ce ne sera pas à la fin d'une année (pas en automne), mais dans les premiers mois (donc très certainement au printemps) que je donnerai clairement mes avertissements...

Ce jour de ténèbres et d'éclairs ce sera le premier que j'enverrai pour convertir les impies, et voir si un grand nombre reviendra à moi, avant le grand orage qui suivra de près

Ce jour, mes enfants, n'atteindra pas toute la France mais une partie de la Bretagne en sera éprouvée. Le côté ou se trouve la terre de la Mère de ma Mère Immaculée ne sera pas obscurci par les ténèbres à venir, jusqu'à vous et au-delà, sur le lever du soleil.

Tout le reste sera dans l'effroi le plus terrible. Depuis la nuit jusqu'à la nuit, un jour entier, le tonnerre ne cessera de gronder, le feu des éclairs fera beaucoup de mal, même dans les demeures fermées où l'on sera dans le péché... Mes enfants, ce premier jour n'ôtera rien des 3 autres marqués et décrits.

Ce jour particulier fut révélé à ma servante Catherine dans les apparitions de ma Sainte Mère, sous le nom de Marie conçue sans péché. Ce jour se trouve noté dans 5 petits rouleaux bien fermés de la Soeur St Pierre de Tours (ces écris ont été mis au secret le 05/08/1850 sous l'ordre de Mgr Morlot).

Ce jour restera dans le secret jusqu'au jour où une personne de Dieu portera sa main prédestinée sur ce que le monde aura ignoré."

et le 05 octobre 1882 elle a également des détails de cette obscurité:

"... tes yeux vont voir le commencement de l'heure épouvantable, quand le froment en herbe ne sera pas au troisième noeud de sa croissance (le froment est semé en février, le noeud 1 est situé en mars et le 3ème noeud en mai).

Au moment où mon peuple n'aura plus qu'à s'armer de foi et d'espérance, encore à la saison dure, pendant 4 heures - de midi à 4 h en France - en des jours durs encore, le soleil aura comme un voilement de deuil. Il sera obscurci, sans lumière. Jamais personne sur la terre ne pourrait croire aux noirceurs de ces ténèbres. La terre n'aura plus rien (indication sur la famine qui sera créé).

L'oeil sera voilé, sans qu'il puisse apercevoir le moindre objet. Mon peuple, ce sera le commencement des châtiments de ma Justice (et donc la fin de l'ère de Miséricorde).

C'est le soleil qui annoncera ces douleurs, le ciel qui pleurera, sans pouvoir se consoler, parce que ce sera l'entrée du temps où les âmes se perdront, l'entrée en un mot, de l'épouvantable malheur. Mon peuple, cette obscurité couvrira la Bretagne l'espace de 4h..."



Da Feiz hon Tado Kozh


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