Da Feiz Hon Tado Kozh



Prophéties de l’Extatique de Tours



L’extatique de Tours est une ‘’personne du monde’’ favorisée d’extases. Seule l’obéissance qu’elle accordait à l’église a permit qu’elle révèle ce qui lui a été dit. Car elle-même souhaitait garder son secret, elle a gardé du moins le secret sur son nom.

L’extatique précisa à son confesseur que la Sainte Vierge tout particulièrement avait pour habitude de lui parler. Mais les textes prophétiques datant de 1870 à 1873 ont été révélé par notre Seigneur Jésus Christ.

Le 5 octobre 1870, l’extatique raconte « Voila prés de trois semaines que Jésus me criait avec instance de prier pour le Saint Père, pour l’Eglise, pour les Evêques, pour les prêtres. (…) Je n’en ai presque rien fait, parce que j’ai beaucoup souffert depuis ce temps-là. Je n’ai même pas demandé à Jésus pourquoi Il me disait ces choses (…) Je veux bien vous dire ce que Jésus m’a dit toute la semaine dernière, et ce qu’il m’a dit à chaque moment de la journée. Peut être que c’est le démon qui veut me tromper. Vous en penserez ce que vous voudrez. Cela c’est passé dans mon cœur : je dois vous le dire. Le voici.

Jésus me disait très intimement : « Mon enfant, tu penses à me demander quand finiras les malheurs de la France. Toi-même tu mets du retard aux grâces de miséricorde que Je veux bien accorder à mon peuple, mais Il me faut un grand nombre de tes communions, de tes prières, de tes souffrances. »

Je n’osais pas vous dire ces choses. Pourtant si je vous les avez répétées autant de fois que Jésus me les avaient dites, voilà bien longtemps que vous l’auriez su. Je crains toujours que ce ne soit des tours du démon. Mais pourtant c’est bien mon Jésus il me semble. Il m’a dit que si je suis sourde à sa voix, Il ne me dira plus rien, Il se retirera de moi. Déjà j’ai mis trop de retard à faire ce que Jésus m’a dit. »

L’extatique parle de son état de santé fragile « Je ne me souviens que des douleurs que j’ai enduré et qui m’ont rendue malade », dit-elle alors qu’elle tente de se souvenir des paroles de Jésus. Et sa souffrance morale « Jésus m’a laissé seule, car je ne suis pas digne de lui. » et « Je souffre extrêmement dans mon cœur et dans mon âme. Mon corps est à peu prés dans le même état. » Elle prie parfois Jésus de la laisser mourir.

Le 22 octobre 1871 « Il me semble parfois que tout l’enfer est déchaîné contre moi et que tout les péchés des hommes pèsent sur ma tête. (…) Jésus me dit « Tiens, ressens donc dans ton âme ce que le péché me cause de douleur. » (…) »

Le 20 mars 1872 « Voici ce que m’a dit Jésus la nuit du samedi à dimanche dernier. Dans cette nuit, je n’ai fait que souffrir sans goûter un moment de repos. Dans cet état de souffrance que j’endurais mon corps, mais mon âme surtout, n’était qu’un océan d’amertume et de douleur. Dieu m’a fait sentir combien il est irrité contre les pécheurs. Aussitôt je me suis trouvée comme chargée de tous les péchés des hommes. Il me semblait que des montagnes tombaient sur moi. (…) Voulait-il me traiter comme une victime de ma colère à cause des pécheurs, je ne sais pas. Je sais que j’ai péché et que pour être une victime agréable à Dieu il faut être pure. (…) Un tel supplice m’a paru si affreux que je n’ai pas consenti à le subir, car c’est horrible. »

Elle était dirigée par un prêtre du Tiers-Ordre de Saint François, qui, sous le pseudonyme de Paul de Jésus et sous le titre : « La veille de la Victoire du Christ », sans aucun commentaire, publia en 1882, les révélations écrites sous forme de lettres par sa pénitente.

Elle a fait des révélations qui se sont révélées exactes, en 1873, elle écrit : « La guerre avec nos ennemis les prussiens recommencera. Elle ne durera pas longtemps. » « Le prussiens iront à Paris. » « Nous serons encore humiliés sous leurs mains » « Nous reprendrons l’Alsace et la Lorraine, et l’argent que les Prussiens nous ont volé. Car ils seront détruits, eux et leur roi. » « Les prussiens ne resteront pas longtemps en France » « Nous reprendrons l’Alsace et Lorraine, notre argent et le pays jusqu’au Rhin. »



Prophéties

Le 10 octobre 1870 :

« Les ennemis iront dans la capitale, il en périra un grand nombre dans les combats. »


Le 30 novembre 1870 :

« Au commencement des malheurs de la France, (…) nos ennemis incendiaient toutes les villes par où ils passaient. (…)

Je vous avoue que pour la première fois de ma vie j’ai vu Dieu dans sa colère ! Oh ! Qu’il est irrité contre son peuple ! Il faut que sa justice s’accomplisse.

Je voyais des villes qui n’avaient rien et dans lesquelles les ennemis n’avaient pas pénétré.

Seigneur Jésus, ces villes sont donc moins coupables que les autres ? Il me répond dans sa colère : « Non, elles sont aussi coupables que les autres. Je vais te le montrer. » Et aussitôt apparut dans le ciel un gros nuage, rouge comme le feu, d’où sortaient des flammes qui retombaient sur nos villes pour les brûler. J’ai entendu les cris de nos petits enfants. (…) J’étais si effrayée que je ne demandais pas quand serait la fin de ces maux.

Je vis aussi la mort du méchant roi, notre ennemi, sa race détruite entièrement.

Nos ennemis périront dans les combats. Il en mourra beaucoup des deux côtés. Il y a beaucoup de sang répandu.

Le roi viendra après les malheurs. Ils seront finis. C’est lui qui délivrera l’église et le Saint Père. Il rétablira tout dans la paix. Voilà longtemps que j’ai vu que ce prince montera sur le trône de France. Il ne m’en a pas montré d’autres que lui.

(…) Jésus m’a montré qu’il y avait un grand nombre de mauvais prêtres. Croyez bien qu’il ne les épargnera pas plus que les autres, à moins d’une grande conversion de leur part. Ils vont se convertir ou périr. »

Le 20 février 1871 :

« Jésus m’a dit que si les hommes s’était converti, s’ils avaient reconnu la main de Dieu qui les frappait, Il nous aurait épargné de terribles châtiments qu’Il a dessein de nous envoyer. (…) Dans quelques temps, ce ne sera pas le jugement dernier mais quelque chose qui lui ressemblera bien de prés. (…)

Jésus m’a dit que le péché qui anime le plus sa colère, ce sont les outrages qu’Il reçoit au sacrement de l’autel et le saint jour du dimanche, qui n’est pas sanctifié.

Dieu semble ne rien vouloir épargner par la peste et la famine. La récolte manquera, mais il en mourra tant qu’il en restera assez pour ceux qui resteront.

Lorsque les troupes seront presque toutes rentrées dans leurs foyer, nos ennemis se croirons encore mettre de nous ; ils voudront recommencer.

A Paris, cette ville coupable qui doit être punie selon les desseins de Dieu, le combat doit être sanglant. (…) l’ennemi sera encore maître de nous.

Nos ennemis ne se retireront pas ainsi. Nos ennemis périront dans le combat, si nous implorons la puissance du Dieu des armées. Autrement ils se retireront quand ils nous auront vaincus.

(…) Jésus me dit incessamment, et la nuit et le jour : « Mon église et le Pape ! Je n’ai d’abord pas compris ce que Jésus veut me dire par ces deux paroles : « L’église et le Pape ! Plus de Pape, plus d’église ! disait le Sauveur en répétant les blasphèmes des méchants. Il m’a montré qu’en cela il punira ses ministres, qui eux aussi on été l’objet de sa colère. (…) »

Le 26 avril 1871 :

« (…) Si les prêtres ne se convertissent pas, malheurs ! (…) Les méchants sont extrêmement méchants, les bons ne sont qu’à moitié bons. Point de piété, point de ferveur dans les âmes. (…) »

Le 25 Mai 1871 :

« (…) Ne voyez vous pas que les prédictions de la Salette vont s’accomplir ? Dieu n’a-t-il pas averti les hommes qu’ils seraient punis à cause de leurs pêchés ? »

Le 28 Juillet 1871 :

« (…) Les prédictions de la Salette ne sont qu’à moitié accomplies. (…) Ceux qui aiment Jésus peuvent bien désirer que ces événements arrivent vite, quoiqu’ils soient très effrayants, parce que la guerre sera terrible pour la France et l’Italie. La France ira au secours du Pape. Heureusement pour nous que notre roi nous est réservé dans la miséricorde de Dieu. Il périra beaucoup de méchants. Il en périra de bons aussi. (…) »

Le 20 mars 1872 :

« (…) Ces événements dureront aussi longtemps que nos péchés. (…) Jésus m’a dit qu’Il épargnerait les bons comme pour former un nouveau monde. Mais cependant il en périra un grand nombre. Le nombre des méchants sera plus grand encore.

Beaucoup de couvents seront au pouvoir de l’ennemi. La révolution fera beaucoup de mal à la religion. (…)

Il y aura des bons qui seront mis à mort car Dieu veut de pures victimes.

Paris sera un vrai carnage.

Aux premiers troubles qui auront lieu, nous serons encore soumis au pouvoir de l’ennemi. Nous serons encore sans force et sans défense. L’ennemi s’emparera de nous comme on s’emparera d’un esclave. Il voudra échanger avec nous, nous donner celui qui a été l’instrument dont Dieu s’est servi pour punir son peuple. Mais nous n’en voudrons pas. Là tout sera renversé sans dessus dessous. Nous croirons tout perdu, le massacre sera grand. Avant cela, nous resterons quelques temps au pouvoir de l’ennemi. Là notre misère nous fera recourir au Dieu juste et plein de miséricorde envers le pécheur. Et ce n’est qu’après ces malheurs que le Roi viendra nous sauver. C’est lui qui mettra la France dans sa première grandeur. Il est selon le cœur de Dieu. (…) »

18 Janvier 1873 :

« (…) Tout ce peuple se convertira lorsque la colère du Très Haut éclatera sur nos têtes coupables. Il faut bien que les prédictions de nos Saints Livres s’accomplissent. (…) Pour celui qui croit fermement en Dieu, les malheurs des temps à venir ne lui sont pas étrangers. (…) Je vous ai dit que la révolution éclaterait en France. Pour cette année il y aura bien des troubles, mais pour le grand coup, ce qui sera le plus terrible, ce ne sera pas pour cette année. (…) La France ne sera pas détruite. (…) En l’écrasant sous le poids des malheurs, Il veut la sauver.

Et la Vierge Marie fléchira son céleste courroux. La Sainte Vierge prie pour nous. Ce n’est pas en vain qu’Elle est apparue à la terre pour nous avertir des malheurs qui nous menaçaient. (…) Il n’y a pas que la France qui est coupable, elle ne sera pas la seule punie. D’autres peuples vont se troubler en même temps. Ce sont deux, trois années d’angoisses et d’affreuses douleurs qui nous faut pourtant subir. Nos péchés l’ont mérité.

Après ces temps malheureux, la religion refleurira dans le monde entier ; et Dieu et son église seront servis et aimés. »

Le 26 avril 1873 :

« Paris est parmi les autres villes de France, la plus coupable, Jésus a dit qu’elle ressemblait à Jérusalem, où il n’est pas resté pierre sur pierre. (…)

Avant les moments malheureux, il y aura des signes dans le temps, des tremblements de terre. (…) Il faudra prier, remplir les églises tant qu’elles seront ouvertes. (…)

Lorsque le France aura perdu un grand nombre de ses enfants dans les batailles, c’est alors qu’ils pousseront vers le ciel le cri de détresse et qu’ils demanderont celui qui doit les sauver. Ils iront chercher celui qui est désigné pour être le roi des français. Et avec lui, avec le cœur de jésus, avec le drapeau blanc qui est celui de notre roi, au nom de Marie Immaculée, nous serons sauvés. »

Le 2 Juillet 1873 :

« (…) Les troubles commenceront bientôt et dureront longtemps jusqu’aux moments les plus terribles. Les enfants seront atteints de la maladie et mourront. A Paris, le nombre d’enfants qui mourront sera grand. Partout beaucoup d’enfants mourront de cette maladie, dans les villes, dans les campagnes. Dans le diocèse de Tours, la maladie des enfants fera très peu de mal, il y en a très peu qui mourront.

Dans les villes, dans les campagnes, tous souffriront de la cherté des vivres. Les travaux des bâtiments seront suspendus, les ateliers fermés. Des églises en réparation ne seront pas finies, mais détruites par les méchants. Beaucoup mourront de frayeur dans ces temps malheureux.

Les signes du ciel commenceront bientôt.

Après les tremblements de terre.

Viendront aussi les ténèbres de la nuit, vers la fin des événements. Là, les méchants reconnaîtront la puissance de Dieu. Beaucoup se convertiront, beaucoup de méchants périront.

(…) Le saint Père sera tué à Rome. Nous serons quelques mois sans avoir de Pape.

Les ténèbres dureront quelques heures.

Le bon roi viendra à la fin des malheurs, où presque tous les méchants seront détruits.

Paris sera détruit presque entièrement.

L’archevêque de Paris sera mis à mort avec beaucoup de prêtres. On chassera les Jésuites et d’autres religieux. Beaucoup seront mis à mort. (…) »

Le 5 Juillet 1873 :

« L’époque des événements terribles a été retardé plusieurs fois à cause de la prière des bons. On commencera à bâtir l’église Saint Martin après les malheurs. La révolution éclatera en Italie à peu prés en même temps que chez nous. L’Angleterre sera, elle aussi, bien troublée.

Le Concile recommencera au triomphe de l’église. Ce n’est pas Pie IX qui le recommencera.

(…) Avant tout cela, Jésus sera chassé des écoles.

Le drapeau de la France sera le drapeau blanc avec le cœur de Jésus.

Les méchants seront les maîtres un an et quelques mois.

Il faudrait vendre les maisons de Paris à tout prix, et se retirer des affaires. Tout va baisser d’un coup.

Le signe rouge et blanc sur l’Allemagne signifie leurs malheurs et leur conversion. (…) »

Le 1er octobre 1873 :

« Lorsque nous croirons être en paix, au moment où nous y penserons le moins, viendront les grands événements. »

Le 15 octobre 1873 :

« Non seulement Dieu est irrité contre les pécheurs, mais aussi contre les prêtres. Un grand nombre, un très grand nombre oublient ce qu’ils doivent être envers Dieu et envers les âmes. Et à cause de cela, un grand nombre d’âmes ne sont pas converties. Pour fléchir le ciel, il fallait faire la pénitence et la prière, ils font tout le contraire. (…) Le prêtre n’aime pas Jésus, disons le avec une grande douleur. » "J’ai vu que les prêtres auraient à souffrir par punition. C’est un très petit nombre qui n’est pas coupable. (…) Cependant, beaucoup de prêtres deviendront meilleurs au moment des événements et après les malheurs.

(…) Pour attirer les âmes à la vertu, les attirer vers Dieu, il faut leur parler avec la bonté, avec toute la tendresse et l’amour du cœur de Jésus. (…)

Voilà ce que font les prêtres en ce moment, ils disent aux méchants : « nous allons avoir notre roi à nous. » et puis « Nous vous tenons. Nous serons les maitres de vous ». Non, il ne faut pas parler de la sorte. (…) Le prêtre a bien un peu mérité cette haine de la part des hommes.

(…) A Paris, les méchants sont armés, pour recommencer la révolution. Mais ils ne sont pas encore en grand nombre. Ils manquent d’armes.

On cache les armes croyant éviter la révolution. On dit cela, on leur fait croire cela plutôt. Ces armes sont dans d’autres mains qui sauront bien s’en servir à un moment donné.

Le Président a peur. Il craint de se mettre trop du côté des bons, parce que le côté des bons et moins fort, en apparence, que le côté des méchants. Les méchants paraîtront les plus forts pendant quelques temps. Ils vont nommer un chef, dont le peuple ne veut pas. Il n’aura pas le temps de régner, que Dieu se manifestera dans sa puissance.

Paris sera presque entièrement exterminé. (…) Le sang coulera à flot dans les rues de Paris. Beaucoup mourront de frayeur. Un grand nombre seront égorgés, tués à Paris. D’autres périront dans l’incendie. Un grand nombre de prêtres seront égorgés à Paris. Ils seront surpris et n’auront pas le temps de se cacher. Les méchants n’épargneront rien. Paris sera méconnaissable. Il ressemblera à une boucherie où l’on va pour égorger les animaux.

(…) Un grand nombre seront dispersés dans le midi de la France.

Ils attaqueront les maisons religieuses surtout. Beaucoup de maisons religieuses seront détruites, un grand nombre de religieux et de religieuses seront mis à mort, surtout à Paris. Dans les autres villes, il en aura quelques uns. La révolution s’étendra particulièrement dans les grandes villes.

Tours n’aura presque rien. Quelques méchants essaieront de faire du mal. Ils en feront un peu mais le temps leur manquera. Dans les campagnes, il y aura quelques méchants qui voudront faire du mal. Ils commenceront, ils ne finiront pas le mal qu’ils voudront faire, parce que dans ce moment là, tous les hommes partiront. (…)

Au moment que les méchants, nos ennemis, croiront être les maîtres, ils voudront détruire tous les temples consacrés à Dieu et à la Vierge Marie ; car la France, à ce moment là, n’aura plus aucun secours humain. Elle verra tous les peuples armés contre elle, mais aucun pour la défendre. Elle se retrouvera seule, sans protecteur. C’est à ce moment là qu’elle se souviendra de son Dieu, qu’elle aura recours au Cœur de Jésus et à Marie Immaculée.

Dans ce moment là ils voudront le bon roi.

Les méchants n’auront pas le temps de faire tout le mal qu’ils voudraient faire. Pendant ce temps, les églises seront fermées, les prêtres cachés. Tous les hommes partiront, pour très peu de temps. Cependant un grand nombre de reviendront pas. Ils périront dans les combats.

Vous savez qu’avant ces malheurs il y aura des maladies sur les enfants.

La cherté des vivres sera encore plus grande. Même dans le moment des malheurs, beaucoup seront malades. Je vous ai dit ces choses.

Vous savez qu’après ces grands malheurs Dieu sera connu et aimé. Mais les malheurs seront grands. Aussi on ne veut pas croire à cela, ou plutôt je n’ose pas y penser. Et pourtant cela va arriver. (…) »

Le 19 novembre 1873 :

« Chacun a son parti. La majorité des voix va tomber à celui qui sera l’instrument dont Dieu se servira pour nous punir. A partir de ce moment là, les méchants seront les maîtres. Nous ferons encore des prières publiques, au moment où les méchants seront les maîtres.

Les méchants étant les maîtres que feront-ils ? Ils exécuteront leurs infâmes projets, la révolution contre la religion du Christ. Ils voudront tout détruire, réduire à rien tout ce qui appartient à la religion du Christ. (…) Mais ces hommes, avec leur malice n’ira que jusqu’où Dieu voudra. (…) Paris est la ville la plus coupable. Plus que les autres villes, elle aura à souffrir. La main de Dieu est entièrement appesantie sur cette ville. Ses crimes sont montés jusqu’au trône de Dieu. Elle sera punie selon la mesure de ses crimes.

Il faut à Dieu, pour satisfaire sa justice, non pas seulement le sang des coupables, mais le sang des innocents. Bien des âmes innocentes mourront. Bien des enfants mourront par maladie. Beaucoup dans Paris, mourront par les malheurs qui tomberont sur cette ville coupable.

Paris sera détruit, pas entièrement détruit : il n’y aura de préservés que quelques monuments religieux que les méchants n’auront pas eu le temps de détruire.

Paris et ses habitants seront détruits. Il n’y aura de préservés que ceux qui auront eu le temps de sortir de la ville. (…) En ce moment là, dans toute la France, les vieillards mourront de maladies causées par la frayeur des malheurs. (…) Le nombre des victimes sera grand. Dieu seul pourra les compter. (…)

Le peuple sera malheureux, si malheureux que dans son malheur, il reconnaitra que c’est la main de Dieu qui l’a frappé. C’est en ce moment là qu’ils auront recours à Dieu, ils voudront le bon roi. Ils reconnaîtront enfin que c’est lui qui pourra rétablir la paix et le bonheur.

(…) Ceux qui seront en tête de révolution seront armés. Ils sont forts et puissants. Nos ennemis sont nombreux. Aucune puissance ne viendra au secours de la France. Elle ne peut être sauvée que pas un miracle.

Lorsque nos ennemis verront nos malheurs, ils verront la France sans armée, sans puissance pour la défendre. C’est alors qu’ils croiront réaliser leurs infâmes projets. (…) Etant appuyé sur ceux qui seront en tête des méchants, il veut tomber sur nous avec une audace infernale. Sans rien craindre, espérant être le vainqueur. L’ambition de ce méchant roi est de conquérir la France entièrement et de nous donner pour roi le fils de celui qui nous a livré entre ses mains. Mais Dieu a des desseins. Ce méchant roi sera humilié. Dieu ne veut pas que ce méchant vienne encore souiller le sol de la France. La France a été assez humiliée. Ce méchant viendra à Paris, mais il sera repoussé, lui et toute sa troupe.

Le combat sera grand, car à ce moment là tous les hommes partiront ; mais ils seront bientôt de retour.

C’est alors en effet que la puissance de Dieu se manifestera et que l’on criera « Vice le roi blanc ! »Vive le Cœur de Jésus ! » On criera « Vive Marie Immaculée ! ». La France sera sauvée par un miracle. Dieu le fera et Marie Immaculée. »

Le 2 juin 1873 :

« Le roi parlera à la France ; mais elle sera sourde à sa voix, parce que ce sont les malheurs qui la ramèneront à Dieu.

On va établir, dans la France et dans tout le monde, des corporations, des associations, des réunions de jeunes gens, des confréries pour les métiers.

Les chrétiens vont établir une belle église au cœur de Jésus. Les méchants voudront la détruire.

Jésus m’a montré les Anges, qui planaient au dessus de presque toutes les grandes villes, surtout au dessus de Paris ; ils tenaient à la main la palme du martyre, destinée principalement aux prêtres, qui vont être mis à mort. »

Source: Toutes les Prophéties - Prophéties de l’Extatique de Tours

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