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Histoire de Maria Esperanza Bianchini


Maria Esperanza Madrano née le 22 Novembre 1928 au Venezuela, et elle est morte le 7 Août 2004 aux Etats-Unis.

Résumé de la vie et des apparitions dont fut favorisée Maria Esperanza Bianchini

Sa mère voulait désespérément une fille, elle avait déjà trois garçons. Elle a demandé à la Sainte Vierge de lui accorder une fille. Pendant la grossesse elle beaucoup prié devant une image de Marie, lui offrant son enfant à naître. Elle lui avait promis de l’appeler Maria, et Esperanza si c’était une fille.

Depuis son enfance, Maria a eu des expériences mystiques. Dans sa jeunesse elle était vertueuse et très pieuse. A cinq ans, elle a eu des visions de Jésus et Sainte Thérèse.

Sa première vision fut celle de Saint Thérèse de Lisieux qui lui offrit une rose d’un rouge brillant qui se matérialisa dans sa main. A 12 ans, elle manqua de mourir d’une pneumonie et resta paralysée plusieurs mois et reçut la vision de la Vierge Marie. A 14 ans, elle eut des problèmes de cœur et on la disait condamnée. Elle demanda à Jésus de lui donner un bonne mort, immédiatement le Sacré Cœur lui apparu lui assurant qu’elle serait guérie instantanément. « A ce moment quelque chose c’est passé, je sais que pour tout le monde c’est impossible à croire », raconte Maria. Sa guérison instantanée fut accompagnée d’un tremblement de terre qui secoua l’hôpital. Son cas impressionna les médecins.

A 26 ans, elle entra au Couvent des Sœurs Franciscaines de Los Andes. Un petit Saint lui offrit une rose et elle tendit la main. La rose se matérialisa et les épines la firent saigner. Pour Maria c’était un signe qu’elle deviendrait épouse et mère et non religieuse. Ce sera aussi le début de ses stigmates.

Elle présentait les blessures du stigmate le Vendredi Saint. Des témoins affirmaient l’avoir vu en lévitation pendant la Messe, en extase, et ont rapportés ses dons de bilocation qui lui permettait d’apparaître à deux endroits simultanément, ainsi que des odeurs de Sainteté. Elle manifestait des connaissances surnaturelles, on disait qu’elle saivait lire dans le cœur des autres.

Alors qu’elle partit à Rome recevoir la bénédiction du Pape. La Sainte Vierge lui apparut le 7 octobre 1954 : « Outre la communion quotidienne, le jeûne et la prière et la pénitence, vous devez rester dans une grande solitude, (…). Préparez votre cœur, mère spirituelle des âmes, qui restera scellé pour toujours et en tant que tel. En outre, vous serez mère de sept enfants, six roses et un bourgeon. »

A Rome, elle fit la connaissance du Padre Pio qui l’attendait déjà « Il va arriver une jeune femme d’Amérique du Sud, quand je partirai, elle sera votre consolation ». Alors qu’elle était en chemin pour le rencontrer, elle entendit son appel. Maria lui confia qu’elle avait vu l’endroit où la Vierge lui apparaîtrait « une vieille maison, une chute d’eau et une grotte ».

Saint Jean Bosco lui avait apparu quatre ans plus tôt dans une vision, il lui avait prédit la date où elle verrait son mari qui tiendrait un pavillon italien. Elle rencontra le jour prédit Geo Bianchini Gianni, un italien d’origine. Il raconta que ça a été un des moments les plus importants de sa vie. Gio voyageait alors souvent pour Rome, c’était un homme d’affaire de Caracas. Maria était avec un groupe d’amis « elle était assise à prier le Rosaire lorsque soudainement, on entendit un bruit, un bruit fort, et on a vu une lumière au plafond », se souvient-il. « Un rayon de lumière venu du plafond a frappé violement Maria à la poitrine. A ce moment, elle a eu une très forte douleur et a perdu connaissance. Elle est restée deux ou trois jours au lit, comme immobilisée. Plus tard, elle a commencé à récupérer.

Ce qui a frappé son cœur ce jour là s’est matérialisé plus tard sous la forme d’un objet ressemblant à la pointe d’une flèche ou d’une épée, un métal très étrange. C’est sorti de sa poitrine. Il y avait quelque chose d’écrit sur l’objet pointu. Elle l’a lu : ‘’Le ciel, la terre, une nouvelle vie’’, et il y a eu un peu de sang séché sur elle. Elle l’a gardé enveloppé dans du coton. »

Sur les instructions de la Sainte Vierge, elle se maria le jour de l’Immaculée Conception, le 8 Décembre 1959 à la Basilique Saint Pierre à Rome.

La famille Bianchini s’installa dans les faubourgs de Caracas, ils eurent eu six filles Maria Immaculada, Maria Esperanza, Maria Gracia, Maria Coromoto, Maria Auxiliadora, et Maria del Carmen et un garçon (Giovanni). Ils se sont tous mariés et Maria a eu vingt petits enfants. Tous très heureux, ils restèrent très unis autour de Maria. Ses enfants diront d’elle qu’elle était un miracle quotidien.

Sa fille Maria Gracie témoigne qu'un jour qu’elle sortait les vêtements de sa mère de la machine, elle sortit en même temps une multitude pétales qui étaient mêlés à ses vêtements.

Les beaux fils de Maria témoignent avoir vu chez elle des images pleurer, de l’huile sur la peau de Maria, des hosties apparaissant sur sa langue.

Sa fille Maria Coromoto raconte comment elle a vu sa mère léviter à un ou deux pieds du sol, alors qu’elle priait au milieu d’un groupe.

Une autre fois, alors que sa mère lui avait prêté une veste, elle retrouva plein de pétales à l’intérieur, elles sortaient par dizaines, cela dura cinq minutes.

Beaucoup attestent d’histoires similaires la concernant.

Le docteur Greban raconte « j’ai vu comment les pétales de roses apparaissent, comment il y a une matérialisation de roses, et on sent les roses dans l’environnement ».

Le docteur Alfonso Gutierrez Burgos témoigne « Quand j’ai observé les stigmates, le général de l’armée était là, et d’autres personnes aussi, donc je suis sûr que ces choses qui se produisent ont un caractère surnaturel. En tant que médecin, j’ai examiné ses mains et j’ai essayé de voir de quel genre de blessure il s’agissait. C’étaient des blessures très fines dans ses mains, gonflées au milieu. Ces blessures tranchent sa peau et la blessent beaucoup. C’est accompagné d’une perte de sang. »

La plus incroyable la concernant, a été attestée par des médecins et un journaliste de la télévision qui ont vu une rose pousser à partir de la peau de Maria.

Plus de 15 fois dans sa vie, un rose émergera de son cœur, rouge, réelle, touchée par la rosée, émettant un parfum qui n’est pas de ce monde. Bien sûr c’est impossible à croire. Mais nombreux sont ceux qui affirment l’avoir vu. D’abord un point rouge, puis l’œuf qui se déroule comme la tige d’épines perce la peau et provoque à Maria une agonie qu’ils ont comparée à une femme donnant naissance.

Caroline Fuenmayor, une journaliste de Venevision, la première chaine de Caracas, a filmé ce phénomène. Maria lui a demandé de ne rien diffuser avant sa mort. « Maria Esperanza est une personne très, très spéciale » ajoute Caroline Fuenmayor qui a connu à la fois les stigmates et la rose. « Elle n’est pas de cet endroit. Elle est comme entre deux (le ciel et la terre). »

En 1974, Maria trouva l’endroit qu’elle avait vu en vision, une ferme dans un village de la forêt tropicale. Dans sa vision on lui désigna cet endroit comme étant un futur "lieu de prière et de pèlerinage". En Mars 1976, c’est dans cette ferme appelée Finca Betania qui lui appartenait que Maria Esperanza reçut une vision de la Vierge. Elle lui dit « Tu me verras sur la terre que tu as achetée. »

Le 25 Mars, jour de l’Annonciation, Maria et des membres de sa famille ainsi que des amis priaient devant une grotte, au pied d’une colline et prés d’une rivière. La Vierge lui apparut « Mon enfant, je viens te donner une parcelle du ciel de Lourdes. Bétania au Venezuela. C’est un lieu pour tous, même ceux qui ne sont pas catholiques. » Chaque année, le 25 Mars, les curieux et les croyants se rassemblent devant la grotte. Après plusieurs apparitions, elle s’est présentée comme ‘’Marie, Vierge et Mère, Réconciliatrice de tous les peuples et Nations’’.

Maria a 46 ans, lorsqu'elle délivrera les principaux messages de la Sainte Vierge. Ce sont des appels à la prière, la fréquentation des sacrements et à la solidarité et met en garde contre les conséquences de l’incroyance. A partir de la 6e apparition, quinze autres personnes ont affirmées avoir vue la Sainte Vierge.

Le 25 mars 1984, sept apparitions successives ont permis à des centaines de personnes de la voir. Certains ont révélés avoir eu des messages personnels, alors que la majeure partie ne faisait que la voir.

La Vierge expliqua le but de l’apparition « Je viens les réconcilier, les rechercher, leur donner la foi qui a disparu dans les bruits et le fracas de l’ère atomique qui est sur le point d’éclater. Mon message est un message de foi, d’amour et d’espoir. Plus que tout il apporte la réconciliation entre les peuples et les nations. C’est la seule chose qui peut sauver ce siècle de la guerre et de la fin éternelle. Si un changement ne s’opère pas et qu’il n’y a pas de conversion, le monde périra sous le feu, la guerre et la mort. »

La Vierge lui révèla que le monde aura bientôt un avertissement :

« Voici venir le grand moment du grand jour de lumière. La conscience de ce peuple bien aimé doit être violemment secouée afin que les gens mettent de l’ordre dans leur maison et offrent à Jésus la juste réparation pour les infidélités journalières qui sont perpétuées par les pécheurs. »

Après 1988, les apparitions se firent moins nombreuses et touchaient moins de personnes à la fois. Au total, 15 000 personnes disent avoir vu la Sainte Vierge. Le phénomène durera plusieurs années et la dernière apparition eut lieu le 5 janvier 1990.

Le 23 septembre 1968, Maria priait dans sa maison lorsque Padre Pio lui apparut en présence de son mari, « Esperanza, je viens faire mes adieux. Mon temps est arrivé », et il mourut le jour suivant.

En 1979, elle créa la Fondation Betania, un mouvement laïque destiné à évangéliser, éduquer et développer le bien être de la société et de la vie familiale ainsi qu’à promouvoir la justice sociale.

Le 8 Décembre 1991, jour de l’Immaculée Conception, le Père Otty Osa témoigna avoir vu l’hostie saigner dans la main de Maria Esperanza. Le sang a été analysé et a été confirmé comme étant du sang humain.

En 1998, Daniel Sanford, un américain du New Jersey, vint en pèlerinage pour voir cette hostie sanglante dans la Chapelle de Betania. Le Père Mazzarella célèbra la Messe, à la fin il ouvrit le tabernacle qui contenait l’hostie sanglante. Daniel filmait avec son caméscope personnel : l’hostie était dans les flammes, et au cœur de cette hostie, il vit un cœur palpitant pendant une trentaine de secondes. Ce qui rappelle les mots de Jésus dans la Bible « Mon cœur sera là tout les jours ».

Maria dit avoir reçu ce message de Notre Dame « Je me ferais connaître par un papillon. Parfois vous me verrez dans la rue, ou lorsque vous conduirez sur la route. » Quand ce signe apparaît, il faut prier le Je Vous Salut Marie car Elle est avec vous et vous protège nous dit Maria.

Le papillon apparait et disparait sans un bruit.

« Beaucoup l’on vu à la Grotte de Betania (…) », raconte Carlos Marrero, le beau fils de Maria, « le papillon jouait avec les enfants, volait autour d’eux, et aussi à la maison de ma belle-mère. »

Le 25 mars 1997, un groupe du Michigan photographia le papillon qui semble sorti de nulle part.

Alors que les papillons bleus sont indigènes en Amérique Latine, les témoins le déclarent d’un éclat inhabituel, et apparaissant quand Maria avait ses visions.

Les pèlerins de la grotte ont rapporté avoir vu des chutes de pétales de roses tombant du ciel, des chœurs d’angéliques et des guérisons miraculeuses.

La Congrégation de la Doctrine de la Foi a approuvé seulement 12 apparitions à Betania à ce jour.

Après dix ans d’enquêtes et d’après 550 déclarations écrites formelles, l’évêque Pio Bello a publié le 21 novembre 1987, une lettre pastorale pour affirmer que « les apparitions sont authentiques et ont un caractère surnaturel (…) J’approuve donc, officiellement que le site où les apparitions ont eu lieu soit considéré comme sacré. » Il précisa que toutes les manifestations vu par d’autres personnes que la voyante ne étaient pas forcément authentiques car, elles pouvaient être « une simple hallucination, provoquée par l’attente, la suggestion, l’émotivité et (…) le déséquilibre psychique. »

Son mari raconte « C’était en 1937, Notre Seigneur a permis à Maria de visiter le purgatoire, elle est arrivée en face d’un groupe de personnes, une des âmes était désespérée et saisit sa main. Quand Maria est sortie du purgatoire, elle a trouvée sa main brûlée. Comme lorsque vous vous brûlez avec l’eau chaude, une tâche rouge et douloureuse. Mais à la fin c’était très beau car l’âme a été sauvée. Cette âme, Maria m’a dit son nom, elle s’est avérée être une fille Vénézuélienne que notre fille, Maria Coromoto, connaissait.

Maria a vu aussi beaucoup d’autres âmes qui étendaient leurs bras pour demander de l’aide, en désespoir de cause.

Cette jeune fille a eu de la chance d’attraper Maria, elle lui a dit qu’elle était de Caracas ‘’S’il vous plait, aidez moi, dit-elle’’ puis elle a attrapé le petit doigt et la paume de la main droite de ma femme. » Après cette vision, Maria a prié pour elle tous les jours, et un jour elle a senti l’âme être libérée du purgatoire. « Ce jour là un arbre qui était chez nous, un arbre sec en hibernation, dit son mari, a soudainement fleurit. Il était rempli de fleurs blanches (…) c’était magnifique, de vraies fleurs sur un arbre sec ! »

Maria Esperanza décrit le purgatoire « exactement le sentiment que vous avez dans un cimetière. (…) Un sentiment de tristesse que vous ressentez dans un cimetière, et de la solitude. » « Nous passons tous par le purgatoire. Pour ne pas y passer, il est nécessaire de mener une vie très Sainte. Les maris doivent aimer leurs femmes, le droit chemin, et prendre soin des enfants et leur donner de l’amour dans leur éducation.

Notre Seigneur vit parmi nous. Notre Dame vit parmi nous. Nous ne pouvons pas les voir, mais nous les ressentons dans notre cœur. »

Socrate décrit le même endroit, rapporté par Platon dans Le Phédon :

« Quand les morts sont parvenus à l’endroit où son propre démon conduit chacun d’entre eux, d’abord, ils s’y font juger, aussi bien ceux qui ont vécu une existence pleine de décence et de piété que ceux qui ont vécu tout autrement.

Ceux dont on juge que leur vie se situe dans la moyenne sont acheminés vers l’Achéron sur des barques prévue à leur intention et portées par elles, arrivent jusqu’au lac.

Là est leur séjour, c’est par là qu’ils sont purifiés par des châtiments appropriés et que chacun se délivre de toutes les injustices qu’il a pu commettre (…) »


La fin de la vie de Maria fut marquée par la maladie de Parkinson et la souffrance. Le 7 Août 2004, Maria Esperanza mourut à 75 ans, entourée de son mari, ses sept enfants, leurs conjoints et ses vingt petits enfants.

Source: Toutes les Prophéties - Prophéties de Maria Esperanza Bianchini

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